Les organisations de « haute fiabilité » que l’on retrouve dans la chimie ou l’aéronautique se focalisent tellement sur la limitation des risques qu’elles sont désemparées lorsqu’un problème survient.
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Articles on risque
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Le recours à des entreprises tierces, fréquent dans l’industrie chimique ou pétrolière, encourage le non-respect des obligations de sécurité.
Les placements d’épargne sécurisés devraient progressivement faire place à des supports plus rémunérateurs, mais aussi plus volatiles.
Le rapprochement entre Mylan et Pfizer, fin juillet, viserait à améliorer un niveau de rentabilité qui reste très éloigné de celui des fabricants traditionnels.
Le recours au crédit bancaire reste très majoritaire, tandis que le crowdfunding perce de façon encore limitée en France comme en Europe.
Beaucoup de cyberattaques réussissent, car un individu commet une erreur. Comment peut-on expliquer ces négligences ?
Le verdict sera notamment l’occasion de clarifier certaines définitions juridiques et d’ajuster les politiques de prévention les plus répandues aujourd’hui dans les entreprises.
Les créateurs d’entreprises anticipent mieux les éventuelles difficultés, en particulier financières. La logique d’indépendance derrière leur projet les pousse en effet à se préparer davantage.
Même si les montants atteignent des niveaux records, les structures financières apparaissent en moyenne plus solides que par le passé.
En Méditerranée, des mouvements lents des plaques tectoniques provoquent des séismes silencieux, sans secousses perceptibles mais qui peuvent être de forte magnitude.
La capacité d’adaptation, devenue l’un des « soft skills » les plus prisés des recruteurs, peut aussi être à l’origine de conséquences négatives aujourd’hui encore peu étudiées.
Avec 10 ans de recul, on peut interpréter la crise de 2008 de deux manières. La première privilégie les mécanismes de rémunération ; la seconde insiste sur les erreurs cognitives des acteurs.
Lorsqu’un modèle formel ou un raisonnement statistique décident de vie ou de mort, leur concepteur aura toujours tort.
La diffusion de la crise bancaire à l’économie réelle s’est effectuée plus lentement qu’ailleurs car les banques et les investisseurs ont adopté un comportement de fuite progressive vers la sécurité.
Que ce soit au moment de faire émerger des idées ou du rachat de la jeune pousse, les grandes entreprises peuvent être tentées d’adopter un certain nombre de comportements préjudiciables.
Ce tiraillement incessant entre impératif de visibilité et protection des secrets qui font la valeur ajoutée des startups a même des conséquences géopolitiques.
Les modèles qui ont conduit à la débâcle ne résistaient pas à la mise à l’épreuve scientifique. Ils ont pourtant été maintenus. Comment l’expliquer ?
L’engouement actuel autour des entreprises spécialisées dans l’intelligence artificielle n’est pas sans rappeler celui autour des valeurs technologiques au tournant des années 2000.
Une étude relève qu’ils sont généralement performants, peu endettés, et disposent de ressources cognitives riches en interne.
Parler ou se taire est un bien difficile dilemme. Pourquoi ? Parce que le lanceur d’alerte fait face à des représailles qui peuvent aller jusqu’au procès.
Top contributors
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Chercheur associé au Centre de philosophie contemporaine de la Sorbonne, Fondation Maison des Sciences de l'Homme (FMSH)
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Directeur de l'EDHEC Infrastructure Institute, EDHEC Business School
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Jérôme Caby is a Friend of The Conversation.
Professeur des Universités, IAE Paris – Sorbonne Business School
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Enseignant chercheur en Finance, EDC Paris Business School - OCRE, EDC Paris Business School
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Professeur de gestion, Université Paris-Saclay
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Professeur de finance, EDHEC Business School
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Data analyst, EDHECinfra, EDHEC Business School
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Enseignant-chercheur au laboratoire CEREFIGE, université de Lorraine, professeur de marketing, ICN Business School
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Professeur au département Gestion, Droit et Finance, Grenoble École de Management (GEM)
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Chargé de recherche, Fondation pour les Etudes et Recherches sur le Développement International (FERDI); Chercheur associé au CERDI (UMR UCA-CNRS-IRD), Université Clermont Auvergne (UCA)
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Maitre de Conférences, IAE Orléans
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Professeur associé - Département Droit des Affaires et Ressources Humaines, TBS Education
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Maîtresse de conférences en économie, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne
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Professeur permanent en économie, Burgundy School of Business
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Professeur de Logistique, CESIT - Centre d'Excellence Supply Chain - KEDGE, Kedge Business School
