Avec le départ des députés britanniques, il ne reste au Parlement européen que des forces favorables à la préservation de l’UE. Le combat politique n’en sera pas moins acharné.
Passation de pouvoir à al tête de la CDU.
Odd Andersen / AFP
Sebastian Kurz, qui appartient à une génération héritière du devoir de mémoire, veut en finir avec le sombre passé de son pays en nouant de véritables liens d’amitié avec Israël.
Lors du Congrès du SPD, à Bonn, le 21 janvier 2018.
SASCHA SCHUERMANN / AFP
Le Congrès de Bonn a révélé le fossé séparant une jeune génération très hostile à l'idée même d'une nouvelle alliance avec la CDU à la vieille garde, sensible au poids de l'Histoire.
Angela Merkel et Martin Schulz à Berlin, le 12 janvier 2018.
John Macdougall / AFP
L'accord de principe entre le SPD et la CDU renforce momentanément la position de la chancelière. Mais Angela Merkel sait que son nouveau mandat, si elle l’obtient, sera le dernier.
Martin Schulz, le dirigeant du SPD, le 15 décembre 2017, à Berlin.
Tobias Schwarz/AFP
Donnée pour morte à de multiples reprises, la social-démocratie a toujours su rebondir. Elle peut le faire à nouveau en 2018, si et seulement si elle actualise ses idéaux.
Manifestation du 1er mai à Paris (ici en 2002).
Patrick Prémartin/Wikimedia
Michel Wieviorka, Fondation Maison des Sciences de l'Homme (FMSH)
Comment se fait-il qu’à l’échelle de la planète, sous des régimes politiques différents, tout particulièrement dans des démocraties, la hausse spectaculaire des inégalités revête une telle ampleur ?
La chancelière, en phase d'observation, lors d'un sommet à Tallinn (Estonie), fin septembre 2017.
Ilmars Znotins/AFP
L’impression générale qui se dégage des débats politiques de ces derniers jours en Allemagne est que la direction du SPD cherche comment justifier une nouvelle grande coalition avec Merkel.
Le président de la République, Frank-Walter Steinmeier, lors d'une conférence de presse à Berlin, le 20 novembre 2017.
John Macdougall/AFP
« Il est préférable de ne pas gouverner plutôt que de mal gouverner » : ces quelques mots du leader des libéraux ont plongé l’Allemagne dans une crise politique sans précédent.
Angela Merkel (ici le 19 novembre, à Berlin), touchée mais pas coulée.
Tobias Schwarz/AFP
L’Allemagne entre dans une période accrue de turbulences alors qu’Angela Merkel estime que le pays a besoin de continuité face à la crise migratoire et à la montée des populismes en Europe.
Angela Merkel, au siège de son parti, la CDU, le 25 septembre.
Tobias Schwarz/AFP
Un séisme de moyenne amplitude s’est produit lors des législatives du 24 septembre : malgré le succès de l’extrême droite, l’exercice de la démocratie en Allemagne n’est pas altéré.
La Chancelière, le 29 août à Berlin, à l'occasion de sa traditionnelle conférence de presse d'été.
Tobias Schwarz/AFP
Rien ne paraît pouvoir empêcher la reconduction d’Angela Merkel dans les fonctions de chancelière. Ce sera alors son quatrième mandat. Seule inconnue : avec quelle coalition ?