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Articles on sous-marins

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Mise à l'eau des sismomètres de fond de mer. Largués au beau milieu de la nuit, ils mettront près d’une heure trente à atteindre le fond. Simon, l'ingénieur en charge de l’équipement, communique avec eux pendant la descente pour s'assurer que tout va bien. Les minutes sont longues… Kristel Chanard

Chronique en mer : une première mission au large, quelle découverte !

Dans les expéditions scientifiques, on ne trouve pas que de vieux loups de mer et des spécialistes du thème de la mission. Aujourd’hui, la vision de deux géoscientifiques novices en mer.
Le robot télécommandé Victor émerge de la zone d’exploration le 16 mai 2022 et est récupéré par l’équipage du Pourquoi Pas ? Campagne Arc en Sub - Flotte océanographique française - Jean-Arthur Olive

Chronique en mer : Explorer les dorsales au large des Açores par plus de 2 000 mètres de fond

Partez en mer pour découvrir les grands fonds à bord du « Pourquoi Pas ? », avec 36 scientifiques et 30 marins, un sous-marin autonome et un robot télécommandé.
Boris Johnson, le premier ministre britannique, et Scott Morrison, son homologue australien, se saluent à l’occasion de la COP26. Glasgow, le 1er novembre 2021. Christopher Furlong/AFP

Pourquoi AUKUS bénéficie avant tout au Royaume-Uni

Les analyses s’intéressant à l’alliance AUKUS se sont concentrées sur l’Australie et les États-Unis, négligeant le Royaume-Uni, qui pourrait en fait en être le principal bénéficiaire.
Pour financer ses équipements militaires de pointe, comme ici ses sous-marins nucléaires d'attaque (SNA), la France a besoin des débouchés que constitue la vente d'armes à l'étranger. Ici, lancement officiel des Suffren, à Cherbourg le 12 juillet 2017. Ludovic Marin/AFP

Sous-marins australiens : le modèle français d’exportation d’armes en question

La rupture par l’Australie du contrat français au profit d’AUKUS témoigne du modèle d’exportation d’armes américain : à l’inverse de la France, les É.-U. ne sont pas dépendants de leurs ventes.
Le 20 décembre 2016, à Canberra, Jean‑Yves Le Drian, alors ministre français de la Défense, signe le « contrat du siècle » avec le premier ministre australien de l’époque Malcolm Turnbull. Brenton Edwards/AFP

Pourquoi la rupture par l’Australie du « contrat du siècle » était prévisible

Pour l’Australie, le dilemme était simple : se conduire en nation souveraine et respecter le contrat passé avec la France, ou privilégier sa sécurité et son lien de longue date avec Washington.

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