L’exploration spatiale n’est pas un gaspillage de ressources, mais permet des avancées technologiques et médicales, une surveillance climatique et une inspiration éducative bénéfique pour les jeunes.
Le secteur spatial a connu un vaste bouleversement depuis le début des années 2000 avec l’arrivée massive d’acteurs privés. Comment organiser ce marché pour éviter les externalités négatives ?
Les mégaconstellations de satellites encombreront visuellement le ciel nocturne, perturbant la recherche astronomique. Et les dommages environnementaux causés par ces satellites sont encore inconnus.
2021 fut l’année du tourisme spatial, une pratique qui fait l’objet de vives critiques. Les fictions y participent comme la série « Avenue 5 » d’Armando Iannucci (2020) et son propos satirique.
L’exploitation minière de l’espace est peut-être plus proche que vous ne le pensez. Mais il est urgent de régler les questions juridiques relatives à la propriété des ressources spatiales.
Dans les dix prochaines années, l’essor des petits satellites entraînera un changement de paradigme dans le secteur, notamment en termes de collecte et de traitement des données.
Plusieurs agences spatiales visent à envoyer de nouveau des humains sur la Lune. Coopération et compétition géostratégiques et économiques au programme.
Les satellites de SpaceX vont peupler le ciel nocturne, ce qui aura une incidence sur notre façon d’observer les étoiles. Et ce n’est que le début des mégaconstellations de satellites privés.
Un nouveau président va arriver à la Maison Blanche et un nouvel administrateur à la NASA. Quels changements peut-on anticiper dans la politique spatiale américaine ?
La conquête de l’espace se renouvelle, et nous sommes à la croisée de deux chemins : celui d’une responsabilité commune et partagée et celui d’un individualisme débridé et profiteur.
Si les applications commerciales et de loisir des nanosatellites font polémique, ils servent aussi à faire de la recherche. Quelles en sont les applications possibles pour la science ?
Roland Lehoucq, Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA) and François Graner, Université Paris Cité
La société SpaceX, propriétaire du milliardaire, envisage de mettre en orbite 42 000 satellites ! Il n’y en a eu que 8 000 depuis le tout premier Sputnik. Quelles seront les conséquences de ce projet ?
Professeur senior d’analyse financière, d’audit et de risk management - Directrice de Programme pour le MSc Fashion Design & Luxury Management- Responsable de la spécialisation MBA "Brand & Luxury Management", Grenoble École de Management (GEM)