Valérie S. Langlois, Institut national de la recherche scientifique (INRS); Julien Gigault, Université Laval; Raphaël Lavoie, Institut national de la recherche scientifique (INRS), and To Tuan Anh, Institut national de la recherche scientifique (INRS)
Une récente étude montre que la grande majorité des microplastiques retrouvés dans le fleuve Saint-Laurent proviennent de fibres textiles.
Les cauchemars précèdent souvent les poussées de lupus et d’autres maladies auto-immunes, en particulier lorsque les patients expérimentent aussi des hallucinations.
Le microbiome intestinal et le système immunitaire collaborent étroitement. Avec l’âge, les micro-organismes intestinaux se modifient, diminuant la présence de bactéries utiles.
Les fibres ne sont pas seulement associées à la santé du côlon ; elles influencent aussi la santé globale et la santé du cerveau par l’axe intestin-cerveau. Mais toutes les fibres ne se valent pas.
En agriculture il est souvent préférable de mélanger les variétés dans un même champ pour mieux résister aux pathogènes. Une nouvelle étude décortique ce phénomène au niveau biologique.
Le cancer du pancréas reste un des plus mortels, d’où l’importance des nouvelles pistes thérapeutiques. Une étude montre le potentiel des vaccins à ARNm. Décryptage de la technique et de ses limites.
Une méta-analyse récente révèle que, chez les adultes âgés de 18 à 60 ans, une durée de sommeil inférieure à six heures par nuit est associée à une forte diminution de la réponse à la vaccination.
Une réponse immunitaire excessive peut s’avérer mortelle. De nouveaux travaux décryptent les mécanismes à l’œuvre dans ces réactions incontrôlées, révélant de nouvelles cibles thérapeutiques.
Les vaisseaux lymphatiques aident à limiter les inflammations en drainant les cellules immunitaires. Peut-on les cibler dans le cadre de thérapies, par exemple pour l’insuffisance cardiaque ?
La vaccination est souvent associée à une piqure. Elle peut également prendre la forme d’un spray nasal : une approche encore rare, mais qui pourrait être efficace contre le Covid. Voici pourquoi.
Une nouvelle étude présente les résultats à long terme d’une greffe de pancréas pour traiter les personnes atteintes de diabète de type 1. La guérison du diabète est peut-être à portée de la main.
Si le microbiote intestinal est aujourd’hui bien identifié, on connaît généralement moins son « confrère » : notre microbiote cutané. Présentation de cet allié majeur de notre santé.
De nombreux enfants touchés par l’épidémie actuelle d’hépatite grave ont été exposés à des chiens, mais cela ne signifie pas pour autant que ces derniers en sont la cause.
Une pratique sportive même limitée est bonne pour notre santé et notre système immunitaire… Faire de l’exercice pendant que l’on est malade peut-il alors aider à guérir plus vite ? Pas si simple…
Premier organe de notre système digestif, la langue subit des micro-lésions fréquentes. Les macrophages ont ainsi un rôle majeur pour éviter les infections.
On s’est beaucoup focalisé sur les anticorps comme défense à l’efficacité en berne face à Omicron. Mais nous avons une autre ligne de défense qui, elle, reste en lice face au variant !
C’est dans sa nature, le virus du Covid va continuer à muter… Mais les variants peuvent-ils devenir toujours plus dangereux ? Il est possible qu’Omicron, si contagieux, ait atteint un optimum.
Professeur Immuno-Virologie (DMV-PhD) - Oniris (École nationale vétérinaire, agroalimentaire et de l'alimentation de Nantes-Atlantique), UMR 1300, Inrae