La présence française apparaît désormais souhaitable aux yeux des États du Pacifique, notamment pour l’Australie, pour contrebalancer une Chine qui monte en puissance.
L’opacité, ce sont des questions sans réponse ! Se taire et voter c’est un devoir en démocratie ?
La candidate amérindienne Deb Haaland qui postule à un siège au Congrès, ici en campagne le 1er octobre, à Albuquerque (Nouveau-Mexique).
Mark Ralston/AFP
Il se passe quelque chose aux États-Unis : les femmes se sont massivement mobilisées lors des primaires précédant les élections de mi-mandat et nombre d’entre elles pourraient être élues.
La psychologie scientifique est utile à l’analyse des comportements et des votes, au-delà des intuitions vagues des essayistes. Dommage qu’elle soit peu enseignée en France.
Deux dirigeants de l'AfD en discussion (Joerg Meuthen, à gauche, et Andre Poggenburg), lors du Congrès de l'AfD, le 2 décembre, à Hanovre.
Tobias Schwarz/AFP
Implanté dans tout le pays, attirant un électorat urbain et éduqué, ce parti situé à droite de la droite est différent de l’extrême droite classique. Et s’inscrit dans la durée.
A Madrid, le 7 octobre, une manifestation en faveur du dialogue.
Gabriel Bouys / AFP
Michel Wieviorka, Fondation Maison des Sciences de l'Homme (FMSH)
Deux légitimités s’affrontent dans ces expériences : celle d’un État, de l’ordre, de la légalité, et celle d’une nation minoritaire qui tente d’être reconnue et de se doter d’un État.
Dans un bureau de vote à Vertou, dans l'ouest de la France, le 11 juin 2017.
Loïc Venance/AFP
Ce dimanche, le pic de 51,3 % pourrait bien être encore battu au second tour de la législative. Il il est urgent d’explorer des pistes institutionnelles et plus pratiques pour réduire son poids.
Le Président Macron, dimanche 11 juin, à la sortie de son domicile du Touquet.
Philippe Huguen / AFP
En atomisant les formations traditionnelles, Emmanuel Macron peut faire de La République en marche ! un axe central et durable de la vie politique, et rebâtir ainsi durablement l’échiquier partisan.
Dans un bureau de vote, à Bordeaux, le 23 avril 2017.
Xavier Buaillon/Flickr
Jamais le vote blanc et nul n’aura été autant évoqué lors d’une présidentielle, et pourtant il est peu entendu. Présentation d’une étude inédite menée au lendemain du premier tour.
L'élection de 2017 aura connu un pic de votes blancs et nuls.
Damien Meyer / AFP
En ajoutant un taux d’abstention dépassant les 25 %, c’est plus d’un électeur inscrit sur trois qui n’a voulu ou tout simplement su, le 7 mai 2017, transformer sa voix en « suffrage exprimé ».
Les bulletins blancs ou nuls devraient orienter ce 7 mai, d’une manière tout à fait inédite dans l’histoire du vote en France, les résultats du scrutin.