Le Covid-19 met à l’épreuve les réformes bancaires entreprises à la suite de la crise de 2008 et révèle la fragilité des dispositifs prudentiels comme des mécanismes de résolution européens.
Le « couple franco-allemand » serait à l’origine du plan de relance de l’UE. Ce concept si souvent invoqué mérite d’être analysé de plus près. Que recouvre ce « couple », au juste ?
La crise sanitaire, mais aussi la perspective d’une instabilité climatique accrue, ouvrent la voie à ces titres de dette commune qui divisent l’Union européenne depuis plus de 25 ans.
Sa nomination à la tête de la Banque centrale européenne pose la question d’une représentation féminine qui reste très minoritaire au sein des instances de pouvoir économique.
La relance du programme d’assouplissement quantitatif décidée en septembre dernier a attisé la colère du camp « allemand », que la France rejoint pour la première fois.
Aujourd’hui, la devise des nationalistes européens n’est plus « L’Europe, tu l’aimes ou la quittes » mais « L’Europe, tu ne l’aimes pas mais tu ne la quittes pas ».
Ce dont l’Europe meurt depuis 20 ans, c’est de l’immobilisme des progressistes autoproclamés qui, tout en clamant être les « bons Européens », sont surtout les défenseurs d’un statu quo intenable.
Le projet européen s’oriente vers la mise en place d’un budget commun privilégiant la convergence des États membres plutôt que la stabilisation des économies en cas de choc. Explications.
Les revendications des « gilets jaunes » illustrent une nouvelle fois le manque de pédagogie de l’exécutif sur le respect des contraintes liées à l’appartenance de la France à la zone euro.
Les propositions franco-allemandes relèguent au second plan l’objectif de stabiliser les économies par un partage des risques entre les pays membres en cas de choc.
L’alliance des populistes Ligue du Nord et M5S a donné naissance en Italie à un gouvernement eurosceptique. Quels risques sa politique économique fait-elle courir à l’Italie et à la zone euro ?