Maxime Thomas, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT); Hugo Asselin, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT); Mebarek Lamara, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT), and Nicole Fenton, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT)
Les activités humaines peuvent affecter les plantes, ce qui a des conséquences pour les populations humaines qui les consomment.
Thierry Morin, Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses); Benoît Tonson, The Conversation France, and Morgane Danion, Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses)
Entre pollutions, virus et changement climatique comment se portent les poissons ? Que faire pour les protéger ?
Les sociétés détenues et gérées par des familles émettent en moyenne moins de CO₂ que les autres entreprises, ce qu’elles ne mettent pourtant que peu en avant dans leur communication.
Les mesures pour limiter la pollution visent notamment à répondre aux problèmes créés par des décennies de construction ininterrompue dans l'espace du périphérique.
Des milliards de masques et autres équipements de protection individuelle ont été utilisés tout au long de la pandémie. Contenant du plastique, ces articles nuisent à la faune et à son environnement.
La pollution urbaine et agricole, la construction de barrages et les sécheresses menacent la survie des plantes aquatiques, qui sont essentielles à la vie dans les rivières, les lacs et les zones humides.
Aux États-Unis, un train contenant du chlorure de vinyle a déraillé. Si ce produit se dilue assez rapidement dans l'air et dans l'eau, les riverains craignent une pollution des puits privés.
Dans de nombreux cas, la philanthropie sert aux entreprises à « réparer », dans des conditions qu’ils définissent eux-mêmes, les dégâts qu’ils causent par ailleurs.
En Côte d’Ivoire, la récupération informelle des déchets existe de longue date. Une pratique sur laquelle le pays peut s’appuyer pour construire une véritable économie circulaire dans le pays.
La Chine possède de riches ressources naturelles et cherche à jouer un rôle de premier plan dans la conservation mondiale. Mais ses objectifs économiques passent souvent avant la protection de la nature.
En roulant, les véhicules émettent des particules, mais en remettent également en suspension, comprendre mieux ce phénomène pourrait permettre de réduire ces pollutions.
Chercheur au Centre d’histoire culturelle des sociétés contemporaines, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay
Directeur de recherche CNRS, systématicien, directeur de l’Institut de systématique, évolution, biodiversité (ISYEB), Centre national de la recherche scientifique (CNRS)