Il est à craindre que les protagonistes du refus de recours au profit des manifestations de rue ne soient en train de mal négocier le tournant démocratique en cours.
Le président sortant de la RDC Joseph Kabila (à gauche) et son successeur Félix Tshisekedi en janvier 2019.
Deux hommes se serrant la main avec une caméra vidéo derrière eux.
Le football permet aux élites impopulaires de se constituer un capital politique, mais il offre également aux citoyens un espace pour exprimer leur désaccord.
L'actuel président Félix Tshisekedi et l'ancien président Joseph Kabila se livrent une bataille féroce pour le pouvoir.
Tony Karumba/AFP
La bataille pour le contrôle du pouvoir prend une nouvelle tournure avec la dislocation de la coalition que le président Félix Tshisekedi avait formée avec le parti de l’ex-président Joseph Kabila.
Dépouillement à Lubumbashi (sud de la RDC), le 30 décembre 2018.
Caroline Thirion / AFP
Après la très probable gueule de bois électorale en RDC, on peut dessiner l'après-scrutin grâce aux déclarations du président sortant et de l'examen de la Constitution congolaise.
Service religieux, le 1er février 2018, à Kinshasa en mémoire d'Étienne Tshisekedi.
Junior D. Kannah/AFP
À l’approche de la fin du mandat du président Kabila et suite au report du scrutin, la communauté internationale retient son souffle. Mais le risque d’explosion n’est pas forcément là où on l’attend.
Coordinateur de l'Observatoire pour l'Afrique centrale et australe de l'Institut Français des Relations Internationales, membre du Groupe de Recherche sur l'Eugénisme et le Racisme, Université Paris Cité
Research Associate at the South African Institute of International Affairs (SAIIA) and at a research unit on Les Afriques dans le Monde (LAM), University of the Witwatersrand