La mission XRISM de l'agence spatiale japonaise doit observer les rayons X émis par des sources cosmiques - et pour la première fois, déceler les différentes « couleurs » de ces rayons.
La sonde DART (NASA) et le LICIACube (ASI) avant l'impact sur l'astéroide binaire Didymos (vue d'artiste).
NASA/Johns Hopkins, APL/Steve Gribben
De plus en plus de missions spatiales ciblent les astéroïdes. Parmi leurs buts : mieux comprendre la formation du système solaire et déterminer comment les repousser.
Traînée lumineuse d'une capsule de rentrée transportant des échantillons collectés sur un astéroïde après avoir été libérée par la sonde spatiale japonaise Hayabusa-2, au moment de son entrée dans l'atmosphère terrestre, vue depuis Coober Pedy en Australie du Sud, le 6 décembre 2020.
Morgan Sette/AFP
L’exploration minière ne se limite plus à la terre, ni à la Terre : les entreprises et les États s’intéressent de plus en plus aux réserves situées dans les fonds marins mais aussi sur les astéroïdes.
Récupération de la capsule contenant des échantillons de l’astéroïde Ryugu à Woomera (Australie) à la fin de la mission Hayabusa2.
JAXA
Dans les dix prochaines années, l’essor des petits satellites entraînera un changement de paradigme dans le secteur, notamment en termes de collecte et de traitement des données.
Les astéroïdes conservent intactes des poussières datant de la formation du système solaire. Ici, l’astéroïde Ida et sa lune, Dactyl.
NASA/JPL
La poussière de l’astéroïde Ryugu devrait nous aider à mieux comprendre la formation du système solaire, entre origine de l’eau sur Terre et origine de la matière carbonée.