La chercheuse Sophie Watt a travaillé dans des camps de réfugiés au nord de la France où elle a rencontré bénévoles et exilés afin de mieux comprendre ces zones frontalières très controversées.
Au fil des ans et du nombre de candidats à la migration tentant de traverser la Manche, les passeurs modifient leurs techniques pour s’adapter à l’intensification des contrôles policiers.
Les candidats à l’exil espérant traverser la Manche sont aux mains des passeurs qui tiennent les camps et les voyageurs, dans un climat de peur et de violence.
Malgré les violences et les dangers qui les attendent jusqu’aux conditions déplorables dans les « camps » de réfugiés du nord de la France, les migrants veulent aller au bout de leur exil.