Avec la reconnaissance de Jérusalem comme capitale d’Israël, Donald Trump persiste dans les décisions polémiques, en dépit des réticences d’une partie de son administration.
Démissionera, démissionera pas ? Les positions floues de Saad Hariri reflètent l'étau dans lequel Liban est actuellement pris, que ce soit en terme de politique intérieure ou internationale.
Joseph Eid/AFP
Raphaël Gourrada, École des Hautes Études en Sciences Sociales (EHESS)
Le Liban est une fois de plus ballotté par les remous des tensions régionales qui montrent les limites d’un système politique fondé sur le consensus et les représentations confessionnelles.
Le 14 octobre 2017, un homme lit la presse iranienne au lendemain du discours de Trump sur l'Iran.
STR / AFP
Clément Therme, École des Hautes Études en Sciences Sociales (EHESS)
Le discours partial et biaisé du Président américain pourrait provoquer une régression en Iran vers un retour d’un anti‑américanisme primaire des premières années de la Révolution islamique.
La visite le 5 octobre du roi Salman à Moscou, reçu par le président Poutine pourrait dévoiler de nouvelles alliances, notamment au Moyen-Orient.
Alexey NIKOLSKY / SPUTNIK / AFP
Par-delà les symboles très riches et les annonces très frappantes, la visite du roi saoudien Salman à Moscou peut-elle inquiéter Washington ?
Vue depuis les tours du Mecca Royal Hotel Clock Tower, sur les pèlerins à la Grande Mosquée, à la Mecque, durant Ramadan en 2015, ville sainte de l'Islam située au coeur de l'Arabie Saoudite.
Didier Chaudet, Institut français d'études sur l'Asie centrale
Pour Téhéran, le danger djihadiste est au cœur des prises de décision sécuritaires depuis plusieurs années. La République islamique mène sa propre « guerre contre le terrorisme » sur deux fronts.
Le voile musulman sème la confusion chez les Occidentaux.
Bessi/Pixabay
Réunis fin mai à Vienne, les membres de l’OPEP ont tenté à nouveau de soutenir les prix du pétrole. Mais l’offre américaine et une situation géopolitique mondiale confuse compliquent ces efforts.
Dans la relation triangulaire Tel-Aviv-Riyad-Washington, qui a le plus besoin de qui ?
The White House/Wikimedia
Si les relations entre Israël et certains pays du Golfe s’améliorent, la normalisation des relations israélo-arabes reste lointaine. Riyad veut rester maître du jeu.
Un vendeur de miel et de dattes à Doha, le 5 juin. Sous le regard de l'émir Tamim (à gauche) et de son prédécesseur Hamad bin Khalifa al-Thani.
AFP
Fatiha Dazi-Héni, Institut de Recherche Stratégique de l’Ecole Militaire (IRSEM)
L’esprit de solidarité qui lie les six régimes depuis la création de cette instance en 1981 devrait sortir fortement affaibli par cette crise sans précédent.
Rouhani et Poutine en Chine, en 2014.
Kremlin/Wikimedia
Clément Therme, École des Hautes Études en Sciences Sociales (EHESS)
Les stratèges occidentaux, notamment les néoconservateurs, estiment qu’il leur est possible de briser l’entente militaire irano-russe en Syrie. Mais celle-ci n’est pas que de circonstance.
Démonstration acrobatique de l'armée de l'Air, fin janvier 2017, à Riyad.
Fayez Nureldine/AFP
Fatiha Dazi-Héni, Institut de Recherche Stratégique de l’Ecole Militaire (IRSEM)
Riyad est le gardien de la citadelle assiégée et s’impose comme le garant du statu quo de régimes dynastiques sortis indemnes du « printemps arabe », en dépit des mobilisations populaires d’ampleur.
Le prince saoudien Mohammed ben Salmane et le président chinois Jinping, en septembre 2016 à l’occasion du G20.
Greg Baker/AFP
Le programme énergétique du nouveau locataire de la Maison-Blanche passe par le développement des énergies fossiles. Décryptage de la stratégie pétrolière de Trump.
Poutine et Hollande, lors des cérémonies du 70ème anniversaire du Débarquement, en juin 2014.
francediplomatie/Flickr
Après s’être longtemps montrée intransigeante avec l’Iran, la France a tout intérêt aujourd’hui à engager une politique de coopération approfondie avec Téhéran.
Les fluctuations des prix du pétrole peuvent s’expliquer par les fondamentaux du marché et certaines caractéristiques de l’économie des ressources naturelles.
La baisse prolongée des cours du pétrole entraîne des changements profonds qui se traduisent par des réformes économiques indispensables, largement marquées par la géopolitique, voire la politique.
La colère des Iraniens dans les rues de Téhéran.
Adnan Abidi/Reuters
Les tensions virulentes entre Riyad et Téhéran sont le dernier avatar d’une rivalité à la fois religieuse et géopolitique qui n’a jamais cessé depuis l’instauration de la Révolution islamique en 1979.
Professeur senior d’analyse financière, d’audit et de risk management - Directrice de Programme pour le MSc Fashion Design & Luxury Management- Responsable de la spécialisation MBA "Brand & Luxury Management", Grenoble École de Management (GEM)
Chercheur sur la région Golfe- péninsule Arabique, enseignante Monde arabe (IEP de Lille)., Institut de Recherche Stratégique de l’Ecole Militaire (IRSEM)