La querelle autour de la proportionnelle est aussi ancienne que la République : les jugements positifs ou négatifs sont fonction des circonstances, des intérêts partisans et des positions idéologiques.
Emmanuel Macron devant le temple d'Abu Simbel, le 27 janvier 2019.
Ludovic Marin/ AFP
À quelques mois des élections européennes, il est nécessaire pour Paris de replacer la question du partenariat euro-méditerranéen pour construire une politique européenne ambitieuse dans la région.
Anne Hidalgo, la maire de Paris, et le président Macron, le 14 mai 2017.
Eric Piermont/AFP
Alexandre Faure, École des Hautes Études en Sciences Sociales (EHESS)
Emmanuel Macron veut parachever une volonté ancienne de voir Paris s’étendre un peu plus. Loin d’être une révolution, il s’agit ici d’une confirmation.
Défilé du 14 juillet 2017, à Paris.
Christophe Archambault / AFP
La présence de Donald Trump au défilé militaire du 14 juillet a illustré un aspect important de la relation entre les deux pays : en dépit des brouilles (fréquentes), le poids de l’Histoire demeure.
Theresa May le 9 juin 2017, au lendemain du scrutin.
Adrian Dennis/ AFP
À trop vouloir imiter Margaret Thatcher, Theresa May, comme David Cameron, a fini par ressembler à Jacques Chirac lors de sa dissolution en 1997, deux ans à peine après son élection.
Le jour d'après, cérémonie à l'Arc de triomphe le 8 mai.
François Mori/AFP
Sur cette pyramide de plus de vingt millions de voix, Emmanuel Macron est venu, il a vu, il a vaincu. Mais il n’a pas encore convaincu pleinement.
À la veille de l'élection présidentielle de 2012, le candidat Sarkozy (serre la main à des harkis lors d'une cérémonie de commémoration au camp de Rivesaltes.
Pascal Parrot/AFP
Le cas des harkis illustre l’utilisation de la déformation historique et de la repentance politique à des fins électoralistes, surtout à la veille d’élections.
Marianne sur la colonne des Girondins, à Bordeaux,
Patrice Catalayu/Flickr
L’élection au suffrage universel peut et doit être maintenue, à condition d’entreprendre des réformes tenant compte de la tripolarisation politique et des nouvelles exigences morales.
Manuel Valls et Benoît Hamon, au temps où le PS adhérait à l'idée de primaire.
Eric Feferberg/AFP
Pierre Bréchon, Auteurs historiques The Conversation France
Même si les primaires ont été créées pour des raisons pragmatiques et avec nombre de calculs sous-jacents, leur succès populaire rendra difficile tout retour en arrière pour les partis.
A Colombey-les-deux-Églises.
Alexandre Dolique/Flickr
Chercheur au CNRS, directeur du Centre de recherches sociologiques sur le droit et les institutions pénales (CESDIP), Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay