Quatre ans après la chute du dictateur el-Béchir, le Soudan est déchiré par un conflit violent entre militaires. Ce conflit ne pourra être réglé qu’avec la participation des forces démocratiques.
Le commandant des Forces de soutien rapide du Soudan, le général Mohamed Hamdan Dagolo, dit Hemedti.
Ashraf Shazly/AFP
Hemedti a su utiliser son sens des affaires et ses prouesses militaires pour faire de sa milice une force plus puissante que l’État soudanais en déclin.
Des soldats éthiopiens sur une route près d'Adula, dans le nord du Tigré, le 8 mai 2021. Le conflit armé qui dure depuis un an menace d'embraser toute la région de la Corne de l'Afrique.
(AP Photo/Ben Curtis, File)
Alors que les forces tigréennes sont aux portes d’Addis-Abeba, il y a des risques que la guerre civile en Éthiopie embrase toute la région.
L'ancien président soudanais Omar Al-Bachir à Nyala en 2017, dans la province, du Darfour, région où il est accusé d'être impliqué pour génocide et crimes de guerre par la CPI.
ASHRAF SHAZLY / AFP
La remise à la CPI de l’ancien dirigeant soudanais Omar al-Bashir pose la question d'une collaboration avec le régime actuel, dirigé par des officiers impliqués dans des génocides passés et meurtres récents de manifestants.
Professor of Architecture and SARChI: DST/NRF/SACN Research Chair in Spatial Transformation (Positive Change in the Built Environment), Tshwane University of Technology