Aymen Turki, ESC Clermont Business School and Hoang Dang, ESC Clermont Business School
L’engouement pour les start-up de la finance a connu un coup d’arrêt l’an dernier, ce qui les incite à se tourner vers d’autres leviers de développement comme la « finance embarquée ».
De nombreux services sont nés du rapprochement entre les start-up de la finance et les grandes banques.
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La numérisation du secteur financier se déroule à grande vitesse en Afrique. Des multinationales y installent de grands bureaux et des sociétés locales spécialisées y éclosent.
Peter Thiel, cofondateur de PayPal et de Palantir, prononce un discours important lors de la conférence sur le Bitcoin, en avril dernier, à Miami Beach en Floride.
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L’engouement envers les cryptomonnaies ne cesse d’augmenter. Or, le milieu est risqué pour les investisseurs, non seulement au niveau de la volatilité, mais également au niveau des fraudes.
Les fintech disposent d’un savoir-faire en termes d’innovation qui peut inciter les banques à se rapprocher d’elles.
Le relationnel bancaire semble revenir en grâce dans les enseignes traditionnelles, notamment afin de concurrencer des services en ligne plus standardisés.
Les témoignages, questions et commentaires des contributeurs constituent des éléments précieux pour évaluer les chances de réussite d’un projet.
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La décision d’investir dans une campagne est liée à la possibilité pour les financeurs potentiels d’échanger des informations entre eux et avec le porteur de projet, ce qui est rarement possible.
Gros plan sur les circuits de l'ordinateur quantique du Vésuve, annoncé en 2012 par la firme canadienne D-Wave Systems.
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L’essor des ordinateurs quantiques, des milliers de fois plus rapides que les processeurs classiques, pourrait avoir d’immenses répercussions dans les secteurs qui reposent sur l’analyse de données.
Pour plus d'un Français sur deux, le développement de services de type microcrédit devrait être une priorité des banques.
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La technologie permet aujourd’hui de proposer des produits personnalisés à coût marginal presque nul, créant ainsi une opportunité de renforcer l’inclusion bancaire.
Ce manque de financement représenterait l’équivalent du PIB japonais.
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Florian Léon, Agence Universitaire de la Francophonie (AUF)
D’après la Banque mondiale, plus de 80 % des petites entreprises qui ont un manque de financement n’ont pas fait de demande de crédit.
Les fonds de « private equity » n'ont jamais disposé d'autant de liquidités pour investir, ce qui pousse les valorisations à la hausse.
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La réputation des startups de la finance repose davantage sur les perspectives de plus-value à la revente que sur la réussite financière actuelle ou anticipée. De quoi alimenter les risques de bulle.
Les exemples du crowdfunding ou de la blockchain indiquent que même le régulateur peut être disrupté !
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Les différentes parties prenantes dans le développement des ces startups de la finance pourraient s’organiser en une méta-organisation qui décentraliserait la surveillance et la production des règles.
Crowdlending et financement participatif commencent à être critiqués en France. Un signe que leur développement doit sans doute être mieux expliqué et mieux régulé.
L’arrivée du financement participatif et des diverses formes de crowdfunding change la donne de l’accès au capital pour les start-up. Elle permet aussi de valider les idées et les modèles.
L’industrie des services financiers connait une série de révolutions avec l’arrivée des sociétés de fintech alors que les banques mènent leur transformation numérique. Un match à forts enjeux.
Chargé de recherche, Fondation pour les Etudes et Recherches sur le Développement International (FERDI); Chercheur associé au CERDI (UMR UCA-CNRS-IRD), Université Clermont Auvergne (UCA)