Pour obtenir le soutien du parti indépendantiste catalan, Pedro Sanchez a demandé la reconnaissance du catalan, ainsi que du galicien et du basque comme langues officielles de l’UE. Est-ce possible ?
Anne Mevellec, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa and Linda Cardinal, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa
La Ville d’Ottawa dispose d’une politique de bilinguisme depuis 1970. Or, elle n’a jamais réussi à être mise en œuvre, en particulier en ce qui a trait au recrutement de cadres municipaux bilingues.
Des panneaux bilingues pour un espace commercial à louer à Westmount, sur l'île de Montréal, le 5 août 2022. Le dernier recensement de Statistique Canada démontre un déclin du français au pays.
La Presse Canadienne/Graham Hughes.
En modifiant la formulation de questions sur la langue d’usage, Statistique Canada a rendu non comparables les données de 2001 à 2016 à celles nouvellement publiées.
Il importe de créer des espaces où les francophones se sentent en confiance pour parler diverses variations du français.
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Anne Levesque, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa
Les notions d’insécurité linguistique et d’anglonormativité ne sont pas les mêmes ; il est même dangereux de les confondre.
Mary Simon, leader inuk et ex-diplomate canadienne, a été nommée au poste de gouverneure générale du Canada. Elle est la première Autochtone à occuper ce poste.
LA PRESSE CANADIENNE/Sean Kilpatrick
Les intérêts des nations autochtones rejoignent ceux du Québec, car dans les deux cas, le contexte institutionnel actuel du Canada ne parvient pas à répondre à leurs besoins spécifiques.
Mélanie Joly, ministre du Développement économique et des Langues officielles, a déposé le projet de loi C-32 sur la réforme de la Loi sur les langues officielles le 16 juin 2021.
LA PRESSE CANADIENNE/Patrick Doyle
Atteindre une égalité réelle entre les langues officielles, c’est donner un coup de pouce au français. À cette fin, le projet de loi C-32 introduit des mesures ambitieuses.
De jeunes acheteurs font la queue pour l'ouverture d'un magasin de vêtements le vendredi noir à Montréal, le vendredi 27 novembre 2020.
LA PRESSE CANADIENNE/Paul Chiasson
Nous devons favoriser le dialogue avec la jeunesse québécoise francophone, anglophone et allophone et l’accompagner dans cette découverte de la richesse de la langue française.
Selon un récent sondage du Commissariat aux langues officielles auprès de fonctionnaires fédéraux, plus de 44 % des francophones sont mal à l’aise d’utiliser le français au travail.
LA PRESSE CNADIENNE/Adrian Wyld
Autant les fonctionnaires francophones qu’anglophones sont mal à l’aise d’utiliser le français dans les milieux de travail où le bilinguisme est requis. Comment s’en sortir ?
Une étude montre que ce sont les jeunes Québécois, en particulier ceux de la grande région de Montréal, qui éprouvent le plus de crainte face à l’avenir du fait français dans la province.
LA PRESSE CANADIENNE/Graham Hughes
La majorité des francophones hors Québec ne croit pas que le français soit en péril, tandis que les Franco-Québécois s’inquiètent de l’avenir de leur langue dans une proportion similaire.
Le Premier ministre Justin Trudeau lors de sa conférence de presse quotidienne sur la Covid-19, à Ottawa, le 3 mai. Son gouvernement a adopté un arrêté d’urgence afin d'accélérer l’importation de produits désinfectants et de permettre un affichage unilingue anglais.
La Presse Canadienne/Justin Tang
François Larocque, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa and Linda Cardinal, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa
Les règles d'étiquetage sont essentielles car elles normalisent l’égalité du français et de l’anglais en leur accordant la même visibilité sur les produits. Elles assurent aussi la sécurité du public.
Professor, Research Chair in Language Rights, Faculty of Law | Professeur, Chaire de recherche Droits et enjeux linguistiques, Faculté de droit. 2021 Fellow, Fondation Pierre Elliott Trudeau Foundation, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa