Une 4ème session de négociations est prévue en avril à Ottawa pour élaborer un instrument international juridiquement contraignant sur la pollution plastique.
La COP28 s’achève sur un compromis historique. Même si la sortie des énergies fossiles n’est pas entièrement réglée, enfin, les COP entrent « dans le dur » des négociations.
Les chercheurs et universitaires ont un rôle à jouer dans les négociations climatiques à la COP, où ils peuvent endosser tant la casquette d’expert que celle d’ambassadeur de leur institution scientifique.
La compétition entre les États-Unis, la Chine et les grands émergents a toujours rythmé les négociations climatiques. La COP28 n’y fait pas exception. Le climat, c’est avant tout de l’économie et des rivalités inexpugnables.
À quoi servent les COP ? Certains mettent en doute leur utilité. Du sommet de Rio à la COP28, un retour historique permet de mieux saisir les enjeux de la négociation climatique…
La COP28, un échec annoncé ? Certains éléments invitent au pessimisme, avant même le début officiel de négociations qui tiennent de plus en plus du grand spectacle. Les vraies tractations, elles, sont ailleurs.
De nombreux pays tentent de proposer leurs bons offices pour jouer les médiateurs entre Moscou et Kiev. Mais le temps de la diplomatie n’est pas encore venu.
Bachar Al-Assad, Kim Jong‑un, Vladimir Poutine aujourd’hui, Mouammar Kadhafi, Fidel Castro et bien d’autres hier : de nombreux infréquentables deviennent un jour fréquentables, et inversement.
Le régime iranien est contesté à l’intérieur et fragilisé par les difficultés que rencontre en Ukraine son allié russe. Les Occidentaux aimeraient en profiter dans les négociations sur le nucléaire…
Raoul Delcorde, Université catholique de Louvain (UCLouvain)
Dans le cas de conflits armés ou diplomatiques, la médiation a une importance vitale, comme le conflit russo-ukrainien en témoigne. Mais en quoi consiste-t-elle exactement et comment peut-elle aider ?
Raoul Delcorde, Université catholique de Louvain (UCLouvain)
Lieu de la négociation, timing, composition des délégations, interventions des médiateurs issus d’États tiers, secret des discussions… Chaque aspect d’une négociation en temps de guerre est crucial.
Presque quatre ans après la sortie des États-Unis de l’accord sur le nucléaire iranien, ce texte pourrait entrer de nouveau en vigueur dans les tout prochains jours.
La résistance acharnée que l’Ukraine a jusqu’ici opposée à la Russie ne suffira pas à faire reculer Moscou, qui ne consentira à négocier réellement qu’en position de force.
L'offensive contre l'Ukraine se révélant beaucoup moins aisée que prévu, et les réactions occidentales étant massives, la Russie brandit une menace que l'on aurait tort de sous-estimer…
Thomas Lindemann, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay
Il arrive qu’en menaçant une partie de représailles si elle se conduit d’une façon donnée, on la pousse à se conduire ainsi. Des exemples historiques fournissent à cet égard d’utiles leçons…
Au cours de ses seize années au pouvoir, Angela Merkel a toujours cherché à entretenir le couple franco-allemand, tout en promouvant constamment les intérêts de son pays. Un délicat jeu d’équilibre…
Professor of International Relations & Political Science at L'École polytechnique, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay
Docteure en relations internationales, maitresse de conférences en science politique à l'Université de Reims Champagne-Ardenne (URCA), chercheure associée au Collège de France, chercheure associée au centre Thucydide, Université Paris-Panthéon-Assas