Après les législatives, Emmanuel Macron sera très probablement contraint à cohabiter avec un gouvernement qui ne lui sera guère acquis. Quelles conséquences pour la diplomatie française ?
Les rudes critiques contre la dissolution, même au sein du camp macronien, s’expliquent par le sentiment que, au risque de la défaite, des erreurs d’appréciation présideraient à ce choix.
Depuis la dissolution de l’Assemblée nationale, le 9 juin dernier, les rumeurs politiques se sont multipliées. Quel rôle jouent-elles ? Quels sont leurs ingrédients ? Ont-elles une légitimité ?
Régime parlementaire présidentialisé, la France est singulière : le chef effectif est le président lorsque le Parlement le soutient, mais en cas de cohabitation, le premier ministre mène la danse.
Sous la Vᵉ République, la dissolution est une arme de résolution de crise politique. Est-ce bien le cas du choix fait par le président Macron ? Quelle visée stratégique procède à ce choix périlleux ?