Atelier de recherche des étudiant·e·s du MJMN, 3/5. La chercheuse Marieke Stein analyse les différentes étapes de la polémique sur le gaz de couche en Moselle-Est.
En 2014, lors de l’inauguration à Pungesti (Roumanie) d’une exploitation de gaz de schiste par le géant de l’énergie américain Chevron.
Mircea Restea/AFP
Georgios Michas, Technological Educational Institute of Crete
La demande croissante en énergie et en minerais devrait voir augmenter le nombre de tremblements de terre induits par l’homme. Pour y faire face, une analyse des causes de cette sismicité s’impose.
La carte des séismes survenus aux États-Unis en 2016.
R. Grandin/IPGP
Robin Lacassin, Institut de physique du globe de Paris (IPGP) e Raphael Grandin, Institut de physique du globe de Paris (IPGP)
L’État de l’Oklahoma tente de maîtriser la sismicité induite par les activités pétrolières. Si les premiers effets de cette régulation se font sentir, une récente étude invite à redoubler d’efforts.
Sur un site d’extraction de gaz de schiste en Californie.
David MCNEW/Getty Images North America/AFP
Comment le développement, depuis 2009, des hydrocarbures non conventionnels aux États-Unis a entraîné la baisse des prix du pétrole, ancien « mètre-étalon » des prix de l’énergie.
Des résidents de Porter Ranch brandissent des pancartes demandant l’arrêt de la fuite, le 9 janvier 2015.
Danny Moloshok/Reuters
Robin Lacassin, Institut de physique du globe de Paris (IPGP)
Les séismes induits par l’homme ne sont pas l’apanage des États-Unis. En Inde, en Chine, et aussi en Europe, de la Suisse à l’Espagne, des activités industrielles peuvent perturber les sous-sols.
Robin Lacassin, Institut de physique du globe de Paris (IPGP)
Le recours à la fracturation hydraulique pour exploiter les ressources pétrolières de l’Oklahoma provoque une augmentation inquiétante du nombre de séismes dans cette région des États-Unis.