Le réveil de l’extrême droite en Saxe et Saxe-Anhalt confronte l’Allemagne à un phénomène minimisé depuis des années, celui de la radicalisation de l’extrême droite néonazie.
Donald Trump, aux côtés de son épouse, en Pennsylvanie, le 11 septembre 2018.
Nicholas Kamm/AFP
Alors que la désapprobation grondait face à sa querelle post-mortem avec McCain, le livre de Woodward a fait germer l’idée que Donald Trump pourrait être quelqu’un de peu sûr de lui et de manipulable.
Emmanuel Macron à Versailles, le 9 juillet 2018.
Charles Platiau / AFP
Si tout repose sur l’affirmation d’une incurie radicale de ses prédécesseurs, il va devenir de plus en plus difficile au fil de ces rendez-vous annuels à Versailles de tout expliquer par le passé.
La psychologie scientifique est utile à l’analyse des comportements et des votes, au-delà des intuitions vagues des essayistes. Dommage qu’elle soit peu enseignée en France.
Meeting de Lopez Obrador à Xalapa (Veracruz, 6 juin 2018) .
Efrén Ortiz Dominguez
Dans un contexte électoral surchauffé, l’écrivaine mexicaine Elena Poniatowska reçoit Isabelle Tauzin-Castellanos dans un Mexique exsangue mais qui pourrait bien basculer à gauche.
Ghassan Salamé, le 29 mai 2018, lors de la Conférence de Paris sur la Libye.
Etienne Laurent / POOL / AFP
Il y a une erreur de méthode, adoptée par l’Onu pour sortir la Libye de la crise: il ne suffit pas d’organiser au plus vite des élections pour que tous les problèmes soient résolus.
Luigi Di Maio (à gauche), avec l'avocat et membre de son parti, le Mouvement 5 étoiles, Giuseppe Conte, pressenti pour le poste de Président du Conseil.
Filippo Monteforte/AFP
Une alliance contre-nature, mais conforme au message des électeurs, se met en place à la tête de l’Italie, rassemblant le Mouvement 5 étoiles et la Ligue.
Jair Bolsonaro, le leader de l'extrême droite au Brésil, avec des élèves de l'école militaire de Brasilia, le 19 avril 2018.
Evaristo Sa/AFP
Avec la quasi mort politique de Lula, Jair Bolsonaro est passé de challenger à favori. Mais le Brésil est-il prêt à faire de l’extrême droite brésilienne la première force politique du pays ?
Le Président Macron à Bruxelles, le 22 mars 2018.
Ludovic Marin/AFP
Reportée en raison des attentats terroristes de Trèbes du 23 mars dernier, la « Grande Marche européenne » souhaitée par Emmanuel Macron doit débuter ce samedi 7 avril, en France et dans 26 pays.
Le premier ministre sortant et favori de l'élection du 8 avril, Viktor Orbán (ici le 15 mars, à Budapest).
Attila Kisbenedek/AFP
Le bouillant premier ministre candidat Viktor Orban ne résume pas à lui seul la politique hongroise : ce pays est aujourd’hui face à trois grands défis que la prochaine législature devra affronter.
Les chercheurs se sont attachés à repérer et analyser des comportements-types.
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Le M5S se distingue des partis populistes européens : il s’agit d’un mouvement de fans activistes mobilisés par les messages d’une « célébrité-marque » issue de l’industrie culturelle, Beppe Grillo.
Vladimir Poutine, le 18 mars 2018, jour de présidentielle en Russie.
Yuri Kadobnov/AFP
Cette victoire, qui résulte d’une campagne sans relief et d’une opposition divisée, laisse ouvertes de nombreuses questions sur l’évolution du pays à horizon 2024 et sur la succession de Poutine.
Vladimir Poutine, le 1er mars 2018, au Kremlin avec une journaliste de NBC.
Alexei Druzhinin/Sputnik/AFP
Françoise Daucé, École des Hautes Études en Sciences Sociales (EHESS)
Il ne faut pas se laisser abuser par le caractère formel de l’élection. Ce qui se joue est ailleurs, dans les espaces critiques qui se reconfigurent en réponse à l’ordre public imposé par le Kremlin.
Meeting dans un stade de Moscou, le 3 mars 2018.
Kirill Kudryavtsev/AFP
Bien qu’ils s’en défendent et qu’ils soient en très forte concurrence, le M5S et la Ligue du Nord pourraient converger vers un accord de gouvernement. Pourquoi ?
Luigi Di Maio, le dirigeant du M5S, à Naples le 4 mars. Il est l'un des gagnants du scrutin de dimanche.
Carlo Hermann/AFP
Arrivé en tête, le M5S doit trouver des alliés. À gauche, le départ de Matteo Renzi est acté, tandis que Silvio Berlusconi et Matteo Salvini vont se disputer le leadership de la droite.
Olaf Scholz (à droite), le leader par intérim du (SPD), aux côtés du trésorier du parti, Dietmar Nietan, le 4 mars, à Berlin, à l'annonce des résultats.
Michael Kappeler/AFP
Les rapports entre les deux formations de la coalition gouvernementale risquent d’être plus conflictuels que dans le passé parce que le SPD, affaibli, cherchera à s’affirmer contre la CDU-CSU.
Manifestation anti-fasciste, le 24 février, dans les rues de Rome.
Andreas Solaro/AFP
Aucun parti ne semble en mesure de dégager une majorité solide à l’issue du scrutin de dimanche. La déception de l’électorat pourrait se solder par une forte abstention.
Le dirigeant de la Ligue du Nord, Matteo Salvini, le 24 février, à Milan.
Miguel Medina/AFP