Les pieuvres sont des animaux sociaux et sensibles qui construisent des villes et établissent des hiérarchies. L’idée de les domestiquer a des implications écologiques et éthiques.
Image sous-marine d'une pieuvre dans son environnement naturel. Localisation : îles Canaries.
C. Perales-Raya
Non seulement les femelles meurent après la reproduction, mais les pieuvres mâles cessent de s’alimenter dans une sorte de suicide programmé une fois qu’elles ont dépassé l’âge de la reproduction.
Un poulpe à l'oceanarium de Lisbonne au Portugal.
Isabel Galvez/Unsplash
Sylvie Ducas, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
Le prix, soutenu par la Fondation La Poste, témoigne d’un engagement citoyen, salutaire aujourd’hui, du côté de la lecture, cette éponge à subversion intellectuelle qui ouvre « mille portes en soi ».
Les calamars, à l’image des autres céphalopodes, sont de plus en plus nombreux à peupler les océans.
Kristina Vackova/Shutterstock
Si nombre de poissons victimes de la surpêche se font rares dans les océans, les céphalopodes, eux, prospèrent. De récents travaux nous permettent de mieux comprendre cette situation inédite.
La pieuvre, invertébrée malicieuse.
Vladimir Wrangel/Shutterstock
On dit les pieuvres intelligentes, au point de jouer savamment des tentacules pour s'échapper de l'aquarium. Cela veut-il dire qu'elles sont dotées de conscience, tout comme nous les humains ?
Assistant Professor of Arab Crossroads Studies and Anthropology , NYU Abu Dhabi, chercheuse associée LESC, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières