Articles on Compagnies républicaines de sécurité (CRS)
Displaying all articles
Un policier s’apprête à utiliser une grenade de désencerclement lors d’affrontements avec des manifestants à Lille le 1er mai 2023. Les violences commises par certains policiers font l’objet d’enquêtes de l’IGPN, dont le rôle est très critiqué par la société civile.
Sameer Al-Doumy/AFP
L’IGPN, institution de contrôle des polices, est régulièrement soupçonnée de faire preuve de clémence envers les mis en cause, notamment parce que ses enquêtes demeurent peu accessibles.
À Lille, le 6 avril, durant la 11e journée de mobilisation contre le projet de réforme des retraites. De nombreux incidents et violences ont émaillé les manifestations.
François Lo Presti/AFP
Le changement de la doctrine de maintien de l’ordre et des défaillances dans la chaîne de commandement illustrent une évolution inquiétante dans l’encadrement des manifestations.
Des incidents avaient éclaté pour la finale de la Ligue des Champions.
Thomas Coex / AFP
Dominique Bodin, Université Paris-Est Créteil Val de Marne (UPEC) and Luc Robène, Université de Bordeaux
Un manque d’anticipation, d’organisation, de concertation et de préparation explique les débordements lors du match de la coupe d’Europe sans pour autant qu’il s’agisse d’un phénomène récent.
CRS lors d'une manifestation à Rungis, novembre 2019.
Philippe LOPEZ / AFP
Le mouvement des gilets jaunes a eu du mal à s’imposer dans ce que les médias nomment « les banlieues ». Pourquoi ? Est-ce à dire que ces espaces ne seraient pas politisés ?
L'ancien cirque de Chanteloup-les-Vignes le 5 novembre, complètement détruit par les flammes après un affrontements entre les jeunes d'une cité et les forces de l'ordre.
Bertrand GUAY / POOL / AFP
Depuis peu, nous observons de nouveaux modes opératoires chez les « jeunes de cité » : une maltraitance à l’égard des médecins, des pompiers et surtout des guets-apens. Comment interpréter ces faits ?
Discussion entre des policiers de maintien de l'ordre et un ‘gilet jaune’ le 22 décembre 2018 sur les Champs-Elysées à Paris.
Zakaria ABDELKAFI / AFP
On prête trop volontiers une absence de conscience sociale aux policiers de base.
C’est oublier que l’insubordination, comme le manquement au devoir de réserve, est sanctionnée par tout un arsenal.
Un officier de police en position armé d'un lanceur de balles (LBD40) avec une caméra lors d'une opération de maintien de l'ordre à l'occasion d'une manifestation ‘Gilets Jaunes’ le 20 avril à Paris.
Zakaria Abdelkafi/AFP
Aurélien Restelli, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay
Les interventions des forces de l’ordre lors de manifestations ne sont pas toujours compréhensibles pour le public, le journaliste ou le chercheur. Décryptage de la chaîne hiérarchique policière.
Sur les Champs-Elysées, à Paris, le 16 mars 2019.
Geoffroy Van Der Hasselt/AFP
Si cette proposition de loi ne convainc pas, elle permet de stopper des violences désormais systématiques lors de chaque manifestation et d’éviter l’utilisation des armes intermédiaires.
Manifestants en gilets jaunes dialoguant avec un CRS sur les Champs-Elysées, à Paris fin décembre 2018.
Zakaria Abdelkafi/AFP
Anthony Pregnolato, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
Pour comprendre les logiques sociales des modes de dénonciations des violences policières, il convient de les replacer dans une histoire longue de ces mobilisations.
Sur les Champs-Elysées, à Paris, le 15 décembre 2018.
Christophe ARCHAMBAULT / AFP
On peut douter que le mouvement soit terminé en province, et que les annonces du président de la République aient vraiment apaisé la colère des manifestants.
A l'origine des forces de maintien de l'ordre se trouvait la préoccupation de ne plus traiter le manifestant comme un « ennemi » mais comme un « citoyen momentanément en colère».
Des lycéens place de la République à Paris, le 7 décembre 2018.
Lionel Bonaventure/ AFP
La toute-puissance des réseaux sociaux bouscule les logiques traditionnelles des mobilisations, de la communication, de l'information et du fonctionnement de l'espace public.
Black bloc, ultra-gauche et ultra-droite: ils émaillent les manifestations récentes et font usage des mêmes modes opératoires.
Roscoe Myrick/Flickr
La violence militante n’est pas une nouveauté : mais de quoi parle t-on exactement quand on mentionne l’ultra-droite ou l’ultra-gauche ? Qui se cache derrière et quelles sont leurs méthodes ?
Sur un rond-point, à Blois, le 24 novembre 2018.
Guillaume Souvant/AFP
Quelques enseignements tirés d’une expérience de sociologue ayant travaillé sur des formes de violences sociales et politiques et sur les stratégies sécuritaires déployées par les pouvoirs publics.
Cavaliers de la garde républicaine mobile contre émeutiers sur la place de la Concorde le 7 février 1934. Des groupes de droite, des associations d'anciens combattants et des ligues d’extrême droite protestent contre le limogeage du préfet de police Jean Chiappe à la suite de l'affaire Stavisky.
L'Ouest-Éclair/Wikipedia
Si les réseaux sociaux sont d’invention récente, les enjeux de contrôle de l’information qu’ils impliquent, eux, ne sont pas radicalement différents que dans l’Antiquité.
Des policiers sur la scène d’un homicide, le 4 avril dernier, à Marseille.
Anne-Chistine Poujoulat/AFP
En région PACA, un observatoire local a travaillé durant cinq ans sur la question de la délinquance. Second volet de l’article de Laurent Mucchielli en forme de bilan.
Chercheuse titulaire au Centre de recherches Sociologiques sur le Droit et les Institutions Pénales, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay