L’IA générative offre la possibilité de créer facilement de fausses informations visuelles, mais cette nouvelle technologie va-t-elle réellement nous faire entre dans une nouvelle ère ?
ChatGPT est devenu l’un des outils les plus connus d’intelligence artificielle générative. Mais qu’entend-on exactement par là ? Dans quelle mesure y a-t-il plusieurs types d’IA ?
Même si les nouveaux outils d’intelligence artificielle sont puissants, ils ne savent pas identifier leurs sources d’information et inventent même parfois les propos qu’ils livrent.
L’initiation à la programmation représente une solution pour aider à protéger les systèmes contre les attaques et contribuer à répondre à la demande croissante de compétences en programmation.
Si ChatGPT soulève des inquiétudes, notamment éthiques, il pourrait contribuer à élever le niveau de « sensibilité numérique » dans notre rapport à l’information.
En novembre 2021, l’Unesco a adopté un projet de recommandation visant à donner des fondements éthiques aux travaux et à l’utilisation des intelligences artificielles.
Désinformation, ingérence étrangère, deepfakes… L’UE, comme le reste du monde, fait face à un raz-de-marée de fake news face auquel elle tente de s’organiser.
Le gouvernement souhaite valider la perception sociale avant d’annoncer de nouvelles mesures en divulguant la nouvelle dans les médias. Cette tactique peut aider, mais elle ne garantit pas le succès.
Les hypertrucages permettent aux individus et organisations mal intentionnés de créer et diffuser des tromperies. Or, la société n’est pas équipée pour agir avec discernement contre ce phénomène.
Un couvre-feu pourrait réduire les contacts sociaux et la transmission de la Covid-19. Par contre, plus de 2 mois après son adoption au Québec, il est encore difficile d’en prouver l’efficacité.
David Crête, Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR)
Quels mécanismes ont mené la population à obéir aux règles sanitaires décrétées par les autorités ? La peur, dans ce cas-ci d’un virus inconnu, a été fondamentale.
Anne E. Deysine, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
Donald Trump, on le sait, a un rapport particulier à la vérité, son administration ayant notamment forgé le concept éloquent de « faits alternatifs ». On le constate encore dans la campagne actuelle.
Les risques d’importance majeure, mais dont l’occurrence est faible devraient faire partie de la gestion de risque. En pratique, ce n’est que trop rarement le cas.
Des vidéos truquées d’un réalisme déroutant sont réalisées grâce à des algorithmes d’apprentissage profond et brouillent les limites entre faits et fictions.
Assistant Professor, Educational Technology, Chair in Educational Leadership in the Innovative Pedagogical Practices in Digital Contexts - National Bank, Université Laval
Research professional and project manager, CIDIS (Centre interdisciplinaire de développement international en santé) | LL.M, Applied International Law and Politics, Université de Sherbrooke
Associate professor, School of applied politics, Scientific codirector, CIDIS (Centre interdisciplinaire de développement international en santé), Université de Sherbrooke