L’Ukraine veut rejoindre l’OTAN au plus vite, mais le sommet de Vilnius de l’Alliance atlantique a indiqué que cela ne pourrait pas se produire avant la fin de la guerre déclenchée par la Russie.
Parmi les combattants ayant rejoint le front en Ukraine, on retrouve notamment des anarchistes biélorusses, passés pour certains par le Kurdistan syrien, où ils ont affronté Daech.
Jules Sergei Fediunin, Institut national des langues et civilisations orientales (Inalco)
Les événements des 23-24 juin derniers auront des conséquences considérables aussi bien pour le pouvoir russe que pour la guerre que le Kremlin livre à l’Ukraine.
Le prestige de Poutine sort écorné après la tentative de rébellion d’Evgueni Prigojine, le leader du groupe Wagner. Mais le président va-t-il en profiter pour lancer une purge autour de lui ?
Alors que l’Ukraine contre-attaque, et frappe même le territoire russe, l’élite moscovite constate avec inquiétude que les radicaux exigent une escalade rapide.
L’Assemblée nationale a reconnu le Holodomor, la grande famine qui a décimé l’Ukraine au début des années 1930, comme un génocide. Retour sur cette notion et les débats qui l’entourent.
À proximité de Tchassiv Yar, où les combats font rage, un hangar abrite une vingtaine de combattants, qui s’y reposent un peu avant de retourner sur la ligne de contact.
Les récits des combattants ukrainiens font voisiner l’horreur et l’absurde. Comme cette effarante histoire de poulet et de chien dans une tranchée, sous les yeux d’un conscrit qui perd la raison…
Si la délégation africaine parvient à convaincre les belligérants de trouver une solution pacifique, elle apportera une contribution essentielle au climat de médiation.
Un an après deux séjours de plusieurs semaines dans l’Ukraine en guerre, l’ethnographe Romain Huët y est retourné. De Kiev au Donbass, il cherche à saisir en quoi la guerre a changé les Ukrainiens.
De nombreux pays tentent de proposer leurs bons offices pour jouer les médiateurs entre Moscou et Kiev. Mais le temps de la diplomatie n’est pas encore venu.
La Turquie de Recep Tayyip Erdogan cherche à jouer les médiateurs dans le conflit russo-ukrainien, retrouvant ainsi une place centrale dans la géopolitique régionale, voire mondiale.
Joe Biden et son équipe disent vouloir aider l’Ukraine à recouvrer son intégrité territoriale. Certaines voix au sein de l’establishment militaire états-unien émettent des doutes sur cet objectif.
Même s’il est peu probable que Poutine soit un jour jugé par un tribunal, le mandat d’arrêt de la CPI a une réelle valeur. Les actions symboliques peuvent avoir un effet profond sur les États.
Analyste en géopolitique, membre associé au Laboratoire de Recherche IAE Paris - Sorbonne Business School, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, chaire « normes et risques », IAE Paris – Sorbonne Business School
Maitre de conférences en sciences de la communication, Chercheur au PREFICS (Plurilinguismes, Représentations, Expressions Francophones, Information, Communication, Sociolinguistique), Université Rennes 2
Post-doctorant au Centre d'études sociologiques et politiques Raymond Aron (EHESS), Docteur en science politique associé au Centre de recherche Europes-Eurasie (CREE) de l'INALCO, Institut national des langues et civilisations orientales (Inalco)