Bien que les médicaments à base de semaglutide, comme Ozempic, soient recommandés pour traiter le diabète de type 2, ils sont de plus en plus prescrits « hors étiquette » en raison de leur efficacité pour induire une perte de poids.
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La demande pour des médicaments amaigrissants non homologués comme Ozempic comporte des risques pour la santé d’une perte de poids non supervisée et le développement de troubles de l’alimentation.
Pour de nombreuses personnes, il est très difficile de perdre du poids sans aide professionnelle. L'obésité est un problème moderne, qui nécessite une approche novatrice.
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L’humain a commencé à prendre du poids à mesure que les progrès technologiques ont rendu la nourriture abondante et disponible. Car son cerveau et son métabolisme fonctionnent comme en temps de disette.
Les recherches confirment que notre corps brûle les graisses lorsque nous nous entraînons; la perte de graisse localisée n’est qu’un mythe entourant la perte de poids.
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Les publicités pour la perte de gras ciblée, en particulier pour la graisse abdominale, sont omniprésentes sur les médias sociaux. Mais existe-t-il des preuves à l’appui de cette « perte de graisse localisée » ?
Chez les souris obèses, le système d'activation de l'insuline via l'odorat ne fonctionne pas.
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Une étude vient de démontrer l’existence d’une voie de communication entre le système olfactif et le pancréas : détecter une odeur de nourriture déclenche la production d’insuline.
Certains facteurs peuvent perturber le microbiote intestinal. On parle notamment de notre alimentation, de notre consommation d’alcool, de la prise d’antibiotiques et des maladies inflammatoires de l’intestin.
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Une nouvelle étude démontre que le microbiote intestinal n’aurait que peu ou même pas d’effet sur notre poids, notre métabolisme et notre risque de développer des maladies chroniques.
Selon une enquête récente, à 15 ans, la moitié des jeunes filles estimeraient avoir besoin de faire un régime alors que seule une d'entre elles sur dix est en surpoids.
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Si les discriminations liées au poids sont dénoncées, les clichés sur l’obésité persistent, culpabilisant les personnes qui en souffrent et poussant au régime des jeunes qui n’en ont pas besoin.
Un poids « normal » sur la balance n’est pas forcément synonyme de poids « sain » : encore faut-il que les graisses se répartissent aux bons endroits…
Le fait de fréquenter des personnes qui vous acceptent et vous apprécient comme vous êtes peut vous aider à vous sentir plus en paix avec votre apparence.
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Après plus d’un an à manger sous l’effet du stress et à ne se voir qu’à travers des écrans, l’anxiété liée aux changements d’apparence physique peut rendre le retour à socialisation intimidant.
La stigmatisation liée au poids est à la fois une injustice sociale et un problème de santé publique.
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Les préjugés à l'égard des personnes de forte taille ou obèses sont répandus en Australie, au Canada, en France, en Allemagne, au Royaume-Uni et aux États-Unis.
Des études montrent que compter les calories dans notre assiette est beaucoup plus difficile à faire qu'il n'y paraît.
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Les personnes qui s’inquiètent de prendre du poids tentent souvent d’estimer le nombre de calories contenues dans leur assiette et, la plupart du temps, elles se trompent !
Quels ont été les effets du confinement sur nos habitudes alimentaires ? Et comment éviter la contamination ? Des vitamines et oligo-éléments sont-ils utiles en prévention ? Tour d’horizon…
Les personnes au corps « en forme de pomme » stockent plus de graisse dans leur abdomen, tandis que celles au corps « en forme de poire » la stockent plutôt dans le bas du corps.
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Graisse viscérale ou graisse sous-cutanée ? Selon l’endroit où notre corps stocke le gras, les conséquences sur la santé diffèrent.
Si certaines personnes ont vu leurs pratiques alimentaires se dégrader pendant le confinement, faute de temps ou de moyens, d’autres les ont améliorées.
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Pendant deux mois, le confinement a modifié les habitudes des Français. Limitation des sorties, de l’activité physique, modification des pratiques alimentaires… Avec quel impact sur leur corpulence ?
Se mettre en forme et mieux manger font partie des obsessions de notre société, relayées par nos gouvernements, les médias et l'industrie du divertissement.
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Pourquoi l'exercice et l'alimentation prennent autant de place ? Pourquoi la minceur est-elle devenue une vertu et le surpoids, son contraire ? Il faut chercher du côté du message que la société envoie.
L'indice de masse corporelle prend en compte votre poids et votre taille, et c'est tout.
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Qui n’a jamais calculé son indice de masse corporelle, afin de savoir si son poids était gage de bonne santé ? Cet indicateur est pourtant loin d’être aussi pertinent qu’il est populaire…
Professeur Emérite de Nutrition Université Sorbonne Paris Nord (Paris 13) - Praticien Hospitalier Département de Santé Publique, Hôpital Avicenne (AP-HP), Equipe de Recherche en Epidémiologie Nutritionnelle, U1153 Inserm,Inra,Cnam, Université Sorbonne Paris Nord
Chercheur au Centre de recherche de l’Institut universitaire de cardiologie et de pneumologie de Québec et Professeur titulaire au Département de médecine, Université Laval