Un dragon pourrait-il réellement cracher du feu ? En explorant la biochimie qui se cache derrière la fiction, il est possible de combler le fossé entre le magique et le biologique.
Dans « Game of Thrones », les personnages handicapés, blessés ou considérés comme des parias sont légion et tissent un vibrant éloge de la non-conformité.
Les maladies et afflictions physiques et mentales qui frappent les maisons régnantes de Westeros, dans la fiction, ont bien des points communs avec l’histoire réelle des monarchies européennes.
Un anthropologue nous expose les raisons d'un triomphe mondial, entre goût des grands récits, échos réalistes au monde contemporain, et attrait du merveilleux.
Retrouvez les invités de Jean‑Philippe Denis, professeur à l’Université Paris-Sud et rédacteur en chef de la RFG. À la une cette semaine, « les leçons de leadership de « Game of Thrones ».
Effets spéciaux spectaculaires, esthétique cinématographique, complexité narrative, mode de diffusion événementiel… « Game of Thrones » possède tous les ingrédients du succès.
Lutte contre le danger venu du froid pour eux, venant du chaud pour nous. Entre la série et notre réalité, les enjeux se croisent : ouvrir ou fermer les yeux, s’unir ou non, agir ou retarder l’action.
« Game of Thrones » n’est pas du tout une reconstitution historique du passé, mais suscite pourtant un très vif intérêt de la part des historiennes et des historiens.
Quel est le point commun entre Orphée, Jésus et un certain héros de « Game of Thrones » ? Tous sont revenus du royaume des morts, phénomène religieux et culturel très populaire depuis des millénaires.
Professeur de psychologie sociale, membre honoraire de l’Institut universitaire de France (IUF), directeur de la MSH Alpes (CNRS/UGA), Université Grenoble Alpes (UGA)