La littérature de jeunesse n'a pas attendu Harry Potter pour faire de la rentrée scolaire un de ses thèmes phares. Quelques pistes de la maternelle à la terminale.
C’est le petit écran qui a fait de Maya l’abeille l’héroïne que connaissent les enfants d’aujourd’hui. Mais en réalité, elle est née dans l’imagination d’un auteur allemand avant la guerre de 14-18.
Les images me plaisent-elles ? Le livre va-t-il apporter quelque chose à l’enfant ? C’est souvent ce que l’on a en tête quand on choisit un album de jeunesse. Mais ne faut-il pas revoir ces critères ?
Cela fait des siècles que les adultes écrivent pour les enfants. Mais les ouvrages qui leur étaient alors destinés étaient bien différents de ceux que l’on connaît aujourd’hui.
La pandémie a conduit plus d’enfants à s’interroger sur des sujets comme la solitude, l’isolement, l’ennui, la maladie et la mort. Quelques pistes pour dialoguer en famille.
Avant même d’apprendre à lire, on peut apprendre à raconter une histoire. C’est le credo de Narramus, un manuel conçu par des chercheurs en collaboration avec des enseignant·e·s de maternelle.
Sélection de versions numériques ou d'adaptations animées de grands classiques pour mieux s'orienter en bibliothèque ou librairie, ou prolonger le plaisir d'une histoire.
Depuis 20 ans, certains auteurs et autrices de livres jeunesse ont mis les stéréotypes et les identités sexuées au centre de la narration. Quelques exemples pour toutes les tranches d’âge.
Héritant de quelques traits de Saint-Nicolas et du folklore américain, le père Noël inventé par Tolkien pour ses enfants préfigure aussi le monde des Hobbits. Un classique pour attendre les fêtes.
À l’occasion du Salon du livre et de la presse jeunesse qui ouvre ce mercredi 27 novembre, retrouvez les analyses de nos auteurs sur la découverte de la lecture et la littérature de jeunesse.
On s'intéresse en général à ses effets sur le développement du langage. Mais la lecture ne peut-elle pas aussi aider les enfants à mieux comprendre les émotions des autres ? Retour sur trois études.
Bienfaisantes ou maléfiques, les sorcières sont nombreuses en littérature de jeunesse. Retour sur quelques classiques et réécritures. Avec, bien sûr, des personnages de Roald Dahl.
À l’occasion de l’exposition que la Bibliothèque nationale de France consacre à Tolkien, retour sur deux conceptions du merveilleux et de l’enfance contemporaines, et pourtant très différentes.
Entre nouvelles, romans ou poèmes, voyages fantastiques, sagas familiales ou interrogations pleines d’humour du monde actuel, voici quelques pistes pour diversifier les lectures des 5-15 ans.
La saga du célèbre sorcier n’est pas seulement une plongée dans un monde magique et un succès commercial. C’est aussi un voyage dans la littérature qui peut inspirer de nouvelles lectures aux jeunes.
Des années, des siècles après leur sortie, les romans d’Annie Ernaux, Maupassant ou Madame de Lafayette touchent-ils encore les jeunes ? Posons la question à l'occasion des nouveaux programmes du bac.
Si la plupart des contes s’achèvent heureusement, ils abordent aussi sous couvert de merveilleux les questions de handicap et de différence qui préoccupent les enfants. Trois exemples de classiques.
Ce n’est pas parce qu’un enfant sait désormais lire qu’il faut arrêter de lui raconter des histoires. Le point sur cinq effets positifs de ces moments partagés en famille.
On connaissait les chiens d’assistance aux personnes malades, voilà aujourd’hui que des écoles font appel à ces animaux pour aider les enfants en difficulté face à la lecture à reprendre confiance.
Enseignant-Chercheur à l'Institut des Langues et Cultures d'Europe, Amérique, Afrique, Asie et Australie (ILCEA4), membre du Centre d'Etudes Slaves Contemporaines, Université Grenoble Alpes (UGA)