Raphaël Hanon, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)
Quand la pratique du cannibalisme est-elle apparue chez le genre humain ? Nous avons vérifié si un crâne datant de 2 millions d’années en était la première trace connue.
La découverte à Panga Ya Saidi au Kenya de la sépulture d’un enfant de trois ans ouvre une fenêtre inespérée pour comprendre l’évolution des pratiques funéraires en Afrique.
Avant l’agriculture, la croyance chez les anthropologues voulaient que les hommes chassaient et les femmes cueillaient. Mais de nouvelles preuves suggèrent que ce n’était peut-être pas le cas.
Dans le film « The Dig », inspiré d’une histoire vraie, le réalisateur Simon Stone nous transporte en 1939, sur les traces d’une incroyable découverte archéologique britannique.
Qui était le premier humain sur Terre ? En voilà une question qui a questionné les scientifiques pendant très longtemps, et est même toujours débattue.
Raphaël Hanon, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)
Les scientifiques ont longtemps pensé que la chasse était à l’origine du développement de notre cerveau. En réalité, les causes semblent être beaucoup plus variées.
Une espèce qui a vécu il y a 380 millions d'années révèle l'origine de nos mains. Il est le plus proche de ce que l’on pourrait considérer comme un « chaînon manquant ».
Le site archéologique de Tiwanaku dispose à la fois d’une protection nationale et internationale. Pourtant, les vestiges qui s’y trouvent ont été souvent dénaturés.
Des « animaux préhistoriques », comme des requins ou des poissons semblant arriver d’un autre âge, font parfois les gros titres. Pourtant, toutes les espèces connues sont « préhistoriques ».
Eva-Maria Geigl, Centre national de la recherche scientifique (CNRS)
En 2008, des archéologues découvraient un fragment de petit doigt dans une grotte sibérienne. Depuis, l’analyse de son ADN a permis aux scientifiques de réécrire l’histoire évolutive des humains.
On a longtemps pensé que la vie avait évolué de l’eau à la terre, mais certains animaux auraient fait le chemin inverse. Rencontrez cette drôle de sirène.
L’anthropocène, qui peine a obtenir une reconnaissance scientifique officielle, accorde à l’humanité une place disproportionnée dans l’histoire du vivant.
Jennifer Kerner, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
Qu’elle soit symbole de fertilité, déesse-mère, ou plus simplement une beauté mystérieuse, la femme est au centre de la représentation anthropomorphique paléolithique.
Professeur à Long Beach, Université de Californie et président de la Commission Internationale de Stratigraphique, California State University, Long Beach