De nouveaux instruments financiers portés par les institutions internationales apparaissent répondre au défaut de financement dans une région particulièrement vulnérable au changement climatique.
Le royaume tente de stimuler son économie en mobilisant à la fois une politique de l’offre et de la demande, symbolisée par la récente extension de la protection sociale.
Pour s’affirmer face aux puissances occidentales, les BRICS recherchent notamment à renforcer leur position dans les instances mondiales et le poids du Yuan dans le système monétaire.
La dégradation de la note souveraine du Cameroun peut être interprétée comme un signal envoyé par les marchés au gouvernement, au moment où il bénéficie d’un appui financier du FMI.
Les pays du BRICS souhaitent un ordre mondial multipolaire. Mais cet idéal pourrait être compromis si Pékin décide de partager le leadership mondial avec Washington.
Des initiatives, promues notamment par le FMI et la Banque mondiale, tentent de stimuler les appétits des investisseurs privés pour les « green bonds ».
L’Argentine a affiché en 2022 une inflation de près de 100 %. Des mesures prises en concertation avec le FMI visent à la ramener à un niveau plus acceptable, mais la situation reste très fragile.
La récente chute de la livre sterling a conduit le gouvernement de Liz Truss à revoir son programme de mesures fiscales qui vise à éviter une récession britannique. Ce n’est pas une première.
Paul Makdissi, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa; Ali Fakih, Lebanese American University; Myra Yazbeck, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa; Rami Tabri, University of Sydney e Walid Marrouch, Lebanese American University
Des chefs de milices et leurs alliés politiques ont établi un système économique et politique de kleptocratie redistributive. Ils extraient et se partagent le maximum possible de l’État libanais.
Le FMI a enclenché le plus grand plan de création de monnaie de son histoire. Si l’Afrique n’en a bénéficié que d’une petite partie, elle se révèle cruciale pour les réserves monétaires du continent.
La communauté internationale a échoué en Afghanistan. Analyse des causes de cet échec, qui repose largement sur les recettes inefficaces des bailleurs de fonds.
Marc Raffinot, Université Paris Dauphine – PSL; Babacar Sène, Université Cheikh Anta Diop de Dakar e Marin Ferry, Institut de recherche pour le développement (IRD)
Le moratoire sur les intérêts de la dette accordé par les organismes internationaux leur confère un rôle de « donneurs en dernier ressort » qui facilite le remboursement des créanciers privés.
Dans un Liban balayé par une puissante vague de protestation populaire, le Hezbollah cherche à tout prix à maintenir le système existant, fondé sur le confessionnalisme.
La profonde crise économique dans laquelle est plongé le Liban s’explique par de multiples facteurs, au premier rang desquels la politique conduite depuis des années par sa Banque centrale.
En Ukraine, comment interpréter la nomination d’un nouveau premier ministre et le retour au premier plan du controversé ancien président de la Géorgie Mikheil Saakachvili ?
Marin Ferry, Institut de recherche pour le développement (IRD); Babacar Sène, Université Cheikh Anta Diop de Dakar e Marc Raffinot, Université Paris Dauphine – PSL
La prépondérance des créanciers privés dans la dette publique extérieure pèse sur le budget des États africains et complique la lutte contre le Covid-19.
L’Afrique a besoin d’investissements massifs. Mais ceux-ci se réalisent à travers la montée de l’endettement public, ce qui est porteur de certains risques.
Maître de Conférences - Economie du Développement, Finances Publiques, Traitement de la dette publique dans les pays à faible revenu, Université Paris-Est Marne-la-Vallée (UPEM), Institut de recherche pour le développement (IRD)
Directeur du Centre de Recherches Economiques Appliquées (CREA) et du Laboratoire de Finances pour le Développement (LAFIDEV) , professeur agrégé en économie spécialisé en Monnaie et Finance, Université Cheikh Anta Diop de Dakar
Analyste en géopolitique, membre associé au Laboratoire de Recherche IAE Paris - Sorbonne Business School, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, chaire « normes et risques », IAE Paris – Sorbonne Business School