Depuis les années 1990, les sociétés transnationales en tant que propriétaires et gestionnaires de grands projets miniers sont redevenues la force dominante.
Le lancement d'une économie circulaire peut aider les pays côtiers d'Afrique de l'Ouest à lutter contre la pollution plastique grâce à un fonds de la Banque mondiale.
Paul Makdissi, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa; Ali Fakih, Lebanese American University; Myra Yazbeck, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa; Rami Tabri, University of Sydney e Walid Marrouch, Lebanese American University
Des chefs de milices et leurs alliés politiques ont établi un système économique et politique de kleptocratie redistributive. Ils extraient et se partagent le maximum possible de l’État libanais.
La communauté internationale a échoué en Afghanistan. Analyse des causes de cet échec, qui repose largement sur les recettes inefficaces des bailleurs de fonds.
Manque de standardisation, « greenwashing », incertitudes… Comprendre les obstacles rencontrés par ce marché permet de penser un effort coordonné impliquant tous les acteurs politiques et financiers.
Marin Ferry, Institut de recherche pour le développement (IRD); Babacar Sène, Université Cheikh Anta Diop de Dakar e Marc Raffinot, Université Paris Dauphine – PSL
La prépondérance des créanciers privés dans la dette publique extérieure pèse sur le budget des États africains et complique la lutte contre le Covid-19.
Auriane Guilbaud, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
L’OMS, la Banque mondiale ou encore l’UE sont engagées dans la lutte contre la propagation de l’épidémie de Covid-19. Il est toutefois regrettable que ces efforts n’aient pas été mieux anticipés.
L’Afrique a besoin d’investissements massifs. Mais ceux-ci se réalisent à travers la montée de l’endettement public, ce qui est porteur de certains risques.
Le très « néo-libéral » FMI, créé il y a tout juste 75 ans, est paradoxalement issu des cogitations de deux économistes dirigistes qui prônaient les interventions de l’État.
Cinq raisons, listées ici en toute subjectivité, qui assoient l’avenir économique de l’Afrique subsaharienne malgré les événements violents et dramatiques dont elle est régulièrement le théâtre.
Si une multitude de personnalités ont côtoyé des membres des réseaux d’espionnage pro‑soviétiques, l’ironie et le hasard de l’Histoire veulent que Keynes ait été proche des deux à la fois.
La Banque mondiale devrait montrer l’exemple en matière de gestion transparente, inclusive, et responsable. Elle ne respecte pas pour elle-même les principes de bonne gouvernance qu’elle prône.
Chargé de recherche, Fondation pour les Etudes et Recherches sur le Développement International (FERDI); Chercheur associé au CERDI (UMR UCA-CNRS-IRD), Université Clermont Auvergne (UCA)
Maîtresse de conférences en science politique, chercheuse au CRESPPA (Centre de Recherches Sociologiques et Politiques de Paris), UMR 7217, CNRS/Université Paris 8/Université Paris 10 Nanterre, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
Maître de Conférences - Economie du Développement, Finances Publiques, Traitement de la dette publique dans les pays à faible revenu, Université Paris-Est Marne-la-Vallée (UPEM), Institut de recherche pour le développement (IRD)
Directeur du Centre de Recherches Economiques Appliquées (CREA) et du Laboratoire de Finances pour le Développement (LAFIDEV) , professeur agrégé en économie spécialisé en Monnaie et Finance, Université Cheikh Anta Diop de Dakar