Partez en voyage en ballon autour de la Terre pour aller étudier le changement climatique ou tester de nouvelles technologies qui iront un jour dans l’espace.
La rade de Brest, avec l’estuaire de l’Elorn (premier plan), la ville de Brest et ses installations portuaires (deuxième plan), et le goulet de la rade ouvert sur la mer d’Iroise (arrière plan).
Georges Chapalain, Cerema
Là où eaux douces et salées se rencontrent, l’environnement est complexe. Des études de terrains permettent de mieux comprendre comment ces zones sont affectées par les humains.
La centrale géothermique de Bouillante, en Guadeloupe, est à l’heure actuelle la seule dans la Caraïbe.
BRGM
La géothermie est une source d’énergie renouvelable continue, qui peut être déployée en milieu urbain avec une faible emprise foncière.
Des protéines d'insuline sont larguées dans le sang après un repas, depuis la vésicule dans laquelle elles sont stockées.
David S. Goodsell, RCSB Protein Data Bank and Scripps Research
Telles Tatoine dans « La guerre des étoiles », certaines planètes orbitent autour de deux étoiles. On sait désormais les trouver depuis le sol de notre planète.
Une analogie avec des employés bavards et une cheffe qui veut les remotiver, pour mieux comprendre la physique quantique.
Meritt Thomas, Unsplash
En mesurant un système quantique, il est possible de lui transférer de l’énergie et d’imaginer de nouveaux « moteurs quantiques » capables d’amplifier la lumière d’un laser, par exemple.
Le James Webb Space Telescope plié dans la fusée Ariane 5 qui partira de Kourou, vue d'artiste. Le lancement est prévu pour le 22 décembre 2021.
ESA / D. Ducros
Le JWST est replié dans Ariane 5. Avant de nous envoyer ses premières données scientifiques, il va se déployer dans l’espace et être testé pour s’assurer que ses instruments fonctionnent.
L'immense miroir du James Webb Space Telescope ne rentre pas dans une fusée. Il faut le replier, puis le déplier une fois dans l'espace.
NASA/Chris Gunn
Plus de 1 200 scientifiques de 14 pays ont participé à la construction du Webb. À quoi va-t-il servir ? Pourquoi un tel coût, et d’où viennent les retards ?
Les alertes se multiplient sur l’état des océans. Comment les sciences océaniques, entre diversité, coopération et ouverture, posent-elles les premiers jalons d’un océan bien commun ?
Mesurer la pollution, alors que les sources bougent et que la météo change, n’est pas une mince affaire. Carte participative de la pollution aux particules fines (PM 10) réalisée à Rennes dans le cadre de l’opération de mesure citoyenne Ambassad’Air.
WikiRennes
La formation des utilisateurs de microcapteurs citoyens et l’expérimentation sont au cœur de projets participatifs, entre science de l’atmosphère, des capteurs, et méthode scientifique.
Hisako Koyama et le télescope de 20 cm du musée des sciences de Tokyo (National Museum of Nature and Science) en 1951, où elle travaillait.
Asahigraph
La passion d’Hisako Koyama pour les étoiles commença pendant la Seconde Guerre mondiale. Ses mesures du Soleil sont un pilier des observations historiques de notre étoile.
Les stations fixes de mesure de la pollution urbaine donnent des valeurs moyennes ou extrapolées, pour les zones où elles ne sont pas installées.
Nathan Dumlao / Unsplash
La pollution de l’air est mesurée par un vaste réseau de surveillance, auquel s’ajoutent désormais des capteurs individuels commerciaux ou citoyens. Quelle est leur fiabilité ?
En 2012, l'université de Montpellier-Nîmes lance ROBUSTA, le premier CubeSat français, ici une unité cubique de 10 cm de côté.
Université de Montpellier
Si les applications commerciales et de loisir des nanosatellites font polémique, ils servent aussi à faire de la recherche. Quelles en sont les applications possibles pour la science ?
Vue d'artiste de l’Extremely Large Telescope dans le désert chilien.
ESO
Le plus grand télescope du monde pourrait résoudre le plus grand nombre de systèmes planétaires, et servira aussi à étudier les objets les plus lointains et les variations les plus subtiles du cosmos.
Directeur de Recherche CNRS et Observatoire de Paris, investigateur principal côté français de l'instrument WEAVE, cofinancé par la Région Île-de-France dans le cadre des Domaines d’Intérêt Majeur, Centre national de la recherche scientifique (CNRS)