Les robots et les assistants virtuels intelligents sont souvent dotés d’attributs féminins. Pour freiner ce biais, nous devons d’abord mieux comprendre les racines profondes de ce phénomène.
Y a-t-il un lien entre les stéréotypes véhiculés par l’IA et le manque d’égalité dans le secteur ?
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Intégrer des femmes dans les équipes de développement pourrait permettre une IA plus égalitaire, moins sujette aux stéréotypes de genre que nous lui transmettons et qu’elle perpétue.
L’informatique moderne permet de traiter les grandes quantités de données des satellites d’imagerie à haute résolution. Repérer les arbres et arbustes isolés dans des zones arides et semi-arides permet mieux évaluer et comprendre l’évolution du couvert végétal.
Martin Brandt
Des technologies de pointe permettent de construire une base de données ouverte de milliards d’arbres individuels, pour mieux comprendre la végétation en zone aride, loin des idées reçues.
L’avionneur Airbus, qui a externalisé des activités stratégiques chez certains fournisseurs, maintient une grande proximité avec ces partenaires privilégiés.
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La crise accélère le développement d’une économie collaborative fondée sur une croissance durable. Les fournisseurs y jouent un rôle essentiel, à condition d’en faire des partenaires.
Photographie du Grand débat national organisé à Reims.
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Les techniques actuelles d’intelligence artificielle, même avec toujours plus de puissance informatique, resteront intellectuellement limitées.
Si un algorithme est formé à partir d’un ensemble de données biaisées de décisions passées prises par des humains, il hériterait et perpétuerait les préjugés de ces humains.
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La réalité a dépassé la science-fiction. Les robots « tueurs » sont dans les rangs de notre armée et de celles d’autres États. Il semble urgent de réglementer l’utilisation de ces engins autonomes.
La saturation du nombre de composants intégrés dans les puces, connue sous le nom de «goulot d'étranglement électronique», limitera bientôt les possibilités d'améliorer la performance des réseaux de neurones artificiels.
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Roberto Morandotti, Institut national de la recherche scientifique (INRS)
De nouveaux dispositifs intelligents exploitent les propriétés de la lumière pour atteindre des performances extrêmement élevées, avec une empreinte environnementale réduite.
Les IA apprennent à partir de bases de données qui sont rarement représentatives ou complètes.
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Les applications d’intelligences artificielles qui manipulent le langage font des bonds de géants. Entre développements technologiques, fantasmes et risques, où en sont-elles ?
Les centres de données comme celui de Google dans l’Iowa consomment de grandes quantités d’électricité.
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Il y a une montée en flèche des coûts énergétiques et financiers de la recherche en IA. Elle nécessite énormément de calculs pour apprendre à comprendre les données, autrement dit, pour s’entraîner.
Les neurones artificiels « matériels » sont aujourd’hui majoritairement fabriqués avec des matériaux standards de l’industrie électronique.
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Les réseaux de neurones qui sous-tendent l’intelligence artificielle s’inspirent du fonctionnement de notre cerveau. Deux approches compatibles et complémentaires font évoluer l’IA.
Selon IBM, deux millions d’emplois en France vont devoir s’adapter à l’essor de l’intelligence artificielle.
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Dans les dix prochaines années, l’essor des petits satellites entraînera un changement de paradigme dans le secteur, notamment en termes de collecte et de traitement des données.
Notre voix contient des informations sur notre humeur, mais aussi sur notre santé.
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Aperçu de recherches récentes sur l’utilisation de la voix des patients pour estimer des pathologies, poser des diagnostics précoces, ou suivre des patients à domicile, grâce à des algorithmes d’IA.
Les implants cérébraux sont porteurs d'espoirs s'agissant de remédier à certaines pathologies. Mais il est crucial d'interroger leurs implications sur nos représentations de la nature humaine.
L’organisme co-fondé en 2009 par le directeur de l’intelligence artificielle chez Google explique qu’un plus grand recours à l’IA aurait permis de limiter les effets de la pandémie.
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Les membres de cette organisation de la Silicon Valley, réunis en sommet mi-2020, voient dans le développement d’outils comme l’IA le remède à la crise actuelle comme des prochaines.