Une pancarte avec le chancelier autrichien Sebastian Kurz (ÖVP) et le vice-chancelier Heinz - Christian Strache (FPÖ) barrés lors d'une manifestation contre le gouvernement autrichien actuel et pour une politique d'asile humaine à Vienne, le 13 janvier 2018.
Alex Halada / AFP
La puissance des populistes provient de leur capacité à imposer leurs thématiques, leur temporalité de l’urgence, la simplification de leurs argumentaires et leur mode d’agir.
Emmanuel Macron et le président du Conseil italien, Giusepe Conte, le 15 juin 2018 à Paris.
Ludovic Marin / AFP
La relation bilatérale pâtit de conjonctures nationales, mais aussi d’un vaste mouvement de recomposition des forces politiques à l’échelle continentale avant les élections européennes de mai.
Matteo Salvini, le ministre de l'Intérieur, en novembre 2018, juché sur un bulldozer qui s'apprête à raser des maisons construites illégalement à Rome.
Filippo Monteforte AFP
Populaire et controversé, le leader de la Ligue surfe sur le discrédit qui frappe les partis traditionnels et le besoin de protection exprimé par la population.
Matteo Salvini en 2018.
Wikipedia / Presidenza della Repubblica
Thomas Lindemann, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay e Shoshana Fine, Sciences Po
L’inégalité des vies se reflète dans les pratiques d’analyse de risques par les agences européennes comme Frontex. Cette analyse privilégie la protection des frontières sur la protection des vies.
Giuseppe Conte, le 31 mai à Rome, à la veille de sa nomination au poste de chef de gouvernement.
Tiziana Fabi/AFP
La dernière crise politique en Italie montre combien le lien de ce pays fondateur du Marché commun a changé en profondeur vis-à-vis de l’Europe.
Luigi Di Maio (à gauche), avec l'avocat et membre de son parti, le Mouvement 5 étoiles, Giuseppe Conte, pressenti pour le poste de Président du Conseil.
Filippo Monteforte/AFP
Une alliance contre-nature, mais conforme au message des électeurs, se met en place à la tête de l’Italie, rassemblant le Mouvement 5 étoiles et la Ligue.
Luigi Di Maio, le dirigeant du M5S, à Naples le 4 mars. Il est l'un des gagnants du scrutin de dimanche.
Carlo Hermann/AFP
Arrivé en tête, le M5S doit trouver des alliés. À gauche, le départ de Matteo Renzi est acté, tandis que Silvio Berlusconi et Matteo Salvini vont se disputer le leadership de la droite.
Manifestation anti-fasciste, le 24 février, dans les rues de Rome.
Andreas Solaro/AFP
Aucun parti ne semble en mesure de dégager une majorité solide à l’issue du scrutin de dimanche. La déception de l’électorat pourrait se solder par une forte abstention.
Le dirigeant de la Ligue du Nord, Matteo Salvini, le 24 février, à Milan.
Miguel Medina/AFP