Defne Gonenc, Graduate Institute – Institut de hautes études internationales et du développement (IHEID)
L’entrée en vigueur de la Convention de Minamata marque un premier pas vers une action globale contre ce métal hautement toxique pour la santé humaine et l’environnement.
Un véhicule de la mission de maintien de la paix au Congo (Monusco), l'opération la plus importante de l'ONU dans le monde.
Thierry Vircoulon
Céline Marangé, Institut de Recherche Stratégique de l’Ecole Militaire (IRSEM)
Le Donbass est devenu un territoire dont ni Kiev ni Moscou ne veulent, mais que ni Kiev ni Moscou ne peuvent abandonner pour des raisons de politique intérieure et de crédibilité internationale.
Jour de vote à Erbil, le 25 septembre 2017.
Ahmed Deeb / AFP
Dans cette partie du monde, chaque individu s’identifie d’abord par sa langue, par son ethnie ou par sa confession, tandis que la citoyenneté vient en second lieu.
Collecte d’eau dans l’un des nombreux puits creusés dans le lit d’une rivière asséchée dans la région de Dierma au Burkina Faso.
Marc Bournof/IRD
Nabil Ben Khatra, Institut national agronomique de Tunisie (INAT) e Maud Loireau, Institut de recherche pour le développement (IRD)
Réunis jusqu’au 16 septembre à Ordos (Chine), les 193 pays membres de la Convention de l’ONU sur la lutte contre la désertification examinent les solutions pour combattre la dégradation des sols.
Une installation pour dénoncer le sort des réfugiés climatique à Dacca (Bangladesh) en 2011.
Munir Uz Zaman/AFP
Annoncé par Laurent Fabius au sortir de la COP21 fin 2015, le projet d’un pacte mondial visant à renforcer la coopération internationale dans le domaine environnemental avance à grands pas.
Si le recul de l’Amérique de Trump en matière de lutte contre le changement climatique envoie un mauvais signal, ses conséquences ne sont peut-être pas aussi néfastes qu’il y paraît.
Soldat de l'armée centrafricaine (mai 2017).
Saber Jendoubi/DR
Au-delà des stratégies territoriales mouvantes des différents groupes armés, la recrudescence de violence met en évidence les trois raisons principales de la persistance de la crise centrafricaine.
Réouverture de l'ambassade d'Italie à Tripoli, le 10 janvier 2017.
Mahmud Turkia/AFP
Les signataires de l’Accord dans leur majorité n’ont engagé qu’eux-mêmes et en aucune manière les groupes influents en Libye. Il est impératif de refonder cet accord en incluant d’autres acteurs.
Le 31 décembre 2016, le Conseil de sécurité de l'ONU approuve le plan de paix russo-turc sur la Syrie.
Kena Betancur/AFP
Le monde n’est jamais apparu, depuis 1945, malgré les risques de cataclysme de la Guerre froide, comme aussi dangereux tant pour la paix que pour les valeurs de droit et de liberté.
Le 19 septembre 2016, explosion de violences à Kinshasa.
Eduardo Soteras/AFP
À l’approche de la fin du mandat du président Kabila et suite au report du scrutin, la communauté internationale retient son souffle. Mais le risque d’explosion n’est pas forcément là où on l’attend.
Soldats de la MISCA en Centrafrique (2013).
Minusca/Flickr
Le Gabon participe à de nombreuses opérations multilatérales. Une façon de peser sur l’échiquier régional et, pour ses hauts gradés, de prétendre à une carrière politique par la suite.
Deux soldats canadiens participent à un exercice de l'OTAN en Ukraine, en 2011.
U.S. Army Europe/Flickr
Manuel Dorion-Soulié, Graduate Institute – Institut de hautes études internationales et du développement (IHEID)
La nation canadienne s’est construite dans la guerre et dans la mémoire de ses guerres. Les interventions militaires d’aujourd’hui font l’objet d’une lutte pour la définition de ce qu’est le Canada.
Le président Obama au Conseil de sécurité, en septembre 2009.
Maison Blanche / Wikimedia
Chloé Maurel, Centre national de la recherche scientifique (CNRS)
Alors que la Russie et la Chine viennent à nouveau de bloquer une résolution sur Alep au Conseil de sécurité, les États-Unis ne sont pas exempts de tout reproche dans leur comportement à l’ONU.
Animations dans les rues de Marrakech pour l’ouverture de la COP22.
COP22
Si la conférence climatique n’a pas apporté d’avancées majeures et laissé un nombre important de questions en suspens, pour son pays hôte, le Maroc, le bilan est bien plus positif.
Les Nations unies ont présenté leurs excuses aux Haïtiens pour avoir introduit le choléra dans leur pays. Le débat porte maintenant sur le financement des compensations.
Alors que s’ouvre la COP22, zoom sur des initiatives marocaines en matière de protection de l’environnement et de lutte contre les changements climatiques.
Les dirigeants du Brésil, de la Russie, d'Inde, de la Chine et d'Afrique du Sud (de gauche à droite).
Money Sharma/Flickr
Coordinateur de l'Observatoire pour l'Afrique centrale et australe de l'Institut Français des Relations Internationales, membre du Groupe de Recherche sur l'Eugénisme et le Racisme, Université Paris Cité
Phd, enseignant-chercheur, responsable de la filière « Gestion des organisations et des destinations touristiques », École supérieure de technologie d’Essaouira, Université Cadi Ayyad