Au début des années 2000, ce petit joyau de biodiversité est devenu un terrain d’étude et de restauration à la suite d’un programme d’élimination d’une population de rats envahissants.
Plus un mammifère est petit, plus il doit produire de la chaleur pour compenser les déperditions. Et donc manger beaucoup !
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La masse corporelle des animaux a une énorme influence sur leur biologie ; elle participe notamment à la production de chaleur corporelle et à l’adaptation à la température extérieure.
Chez les humains, comme chez les autres mammifères, les femelles ont deux chromosomes X et les mâles, un X et un tout petit chromosome appelé Y.
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Le chromosome Y humain pourrait disparaître avec le temps, mettant notre espèce en péril. Mais certains rongeurs se sont très bien débrouillés sans lui – et nous savons maintenant comment.
Gauthier Dobigny, Institut de recherche pour le développement (IRD)
La pandémie de Covid-19 qui a durement frappé la planète était attendue par les scientifiques qui étudient les maladies émergentes d’origine animale. Saurons-nous anticiper davantage la prochaine ?
Le rat-taupe nu évolue dans certaines régions arides du globe.
Smithsonian's National Zoo/Flickr
Plus discrètes que les rats, les souris domestiques sont tout aussi visibles dans les grandes villes. Connaît-on vraiment ce qu’elles sont et comment vivent-elles ?
Pour mettre en œuvre des politiques efficaces de dératisation, encore faut-il comprendre les organisations sociale et territoriale des rats vivant en milieu urbain.
Les rats font partie de l’écosystème urbain et une approche de la gestion de leur population pourrait impliquer le partage de la ville avec eux.
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Chargé de mission « Espèces exotiques envahissantes », PatriNat, Centre d’expertise et de données (OFB-CNRS-MNHN), Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)