Le discours de l’intérêt national est normal de la part des politiques, personne ne souhaitant être accusé d’agir à l’encontre des intérêts de la France. Mais quels sont-ils ?
Collection de légumineuses fourragères sur sol rouge méditerranéen.
ICARDA
Alep détruit, ce sont des morts et des blessés par milliers, mais aussi un centre abritant un patrimoine biologique et génétique précieux qui a dû être relocalisé. Témoignage.
Des migrants sur le départ, le 22 octobre, à la veille du démantèlement programmé du bidonville surnommé « la jungle ».
François Lo Presti/AFP
Les autorités françaises ont décidé de démanteler le camp de fortune, surnommé « la jungle ». Une décision qui ne dissuadera en rien les migrants de revenir. D’autres solutions existent.
Antonio Guterres, surnommé dans son pays « le marteau piqueur parlant ».
ONU/Flickr
Chloé Maurel, Centre national de la recherche scientifique (CNRS)
Ce socialiste portugais, au verbe haut, prendra la tête des Nations unies en janvier prochain. Il aura pour mission de rendre cette instance indispensable plus efficace et encore plus démocratique.
Poutine et Hollande, lors des cérémonies du 70ème anniversaire du Débarquement, en juin 2014.
francediplomatie/Flickr
Même s’ils ne sont pas jugés, faut-il renoncer à toute action politique ? Cela reviendrait à instiller un virus potentiellement dévastateur dans le corps des démocraties libérales.
Alep, le 27 septembre. Le corps sans vie d'un enfant vient d'être sorti des décombres.
Karam al-Masri/AFP
Après des semaines d'intenses bombardements, le régime de Damas va remporter la victoire à Alep. Face à l’impuissance affichée par la « communauté internationale », il ne faut surtout pas se résigner.
Le président Poutine et son premier ministre Medvedev, visitent leur QG de campagne, le 18 septembre.
Alexeï Druzhinin/AFP
Le parti présidentiel dispose de la majorité absolue à la Douma, reléguant ses opposants à un rôle de figurants. Mais le taux d’abstention élevé révèle la déception d’une partie de la population.
Un enfant reçoit les premiers soins après un bombardement attribué à l'armée de Bachar al-Assad de la localité de Douma, à l'est de Damas.
Abd Doumany/AFP
L’accord fragile du 9 septembre entre Russes et Américains est une bonne nouvelle. Mais les « grands » ont plus de mal que par le passé à imposer leurs vues sur les acteurs régionaux et locaux.
Le président Erdogan, à son arrivée au G20 en Chine le 4 septembre.
Etienne Oliveau/AFP
Un temps affaibli politiquement, le président turc a lancé une offensive contre tout ce qui de près ou de loin risquerait de le menacer, aussi bien à l’extérieur de ses frontières qu’à l’intérieur.
Le 24 août, l'armée turque lance une opération d'envergure en territoire syrien.
Bulent Kilic / AFP
La tragédie syrienne et la décomposition de l’Irak ont fait apparaître de nouveaux acteurs et réactivé d’anciens clivages. Alors que la Turquie se sent menacée, les Occidentaux paraissent tétanisés.
Recep Tayyip Erdogan en conférence de presse le 20 juillet.
Adem Altan / AFP
La tentative de putsch ratée en Turquie et les purges massives qui suivent pourraient avoir des implications négatives sur les relations d’Ankara avec l’OTAN et l’Union européenne.
Hommage aux victimes de l'attaque de Nice, le 17 juillet.
Valery Hache / AFP
Plusieurs éléments de réflexion s’imposent à la suite de l’attaque terroriste du 14 juillet à Nice. Une attaque qui marque l’évolution de la radicalisation à de multiples égards.
Les réfugiés ne devaient passer que huit semaines à Lesbos. Certains y sont bloqués depuis six mois.
Knut Bry
Le nombre de réfugiés déterminés à traverser la mer Égée a certes chuté ces derniers mois, mais des milliers d'entre eux sont encore bloqués sur l'île grecque de Lesbos.
Les drapeaux de l’UE, le 9 mai 2013.
Bill Bedzrah/Flickr
Jamais depuis la guerre les dirigeants de l’Europe n’ont porté une telle responsabilité : l’histoire les jugera sur leur action européenne beaucoup plus que sur leur bilan national.
Ruines du village de Teir Maalah, au nord de Homs, le 20 avril 2016.
Mahmoud Taha/AFP
En refusant in extremis de bombarder le régime de Damas en 2013, Barack Obama aurait encouragé l’usage de la force sur la scène internationale. Un constat un peu simpliste.
L'aéroport de Bruxelles, le 22 mars.
Francois Lenoir/Reuters
Après Paris, Bruxelles. Comment expliquer ces attaques terroristes venant de l’intérieur ? Des études récentes permettent de mieux cerner le processus de radicalisation et l’attractivité de Daech.
Des réfugiés coincés à la frontière avec la Macédoine.
Georgi Licovski/EPA
Il y a quarante ans, le philosophe français décryptait le mécanisme qui favorise l’indifférence des sociétés prospères vis-à-vis des groupes en difficulté. Illustration avec la crise des migrants.
Bachar al-Assad reçu au Kremlin par Vladimir Poutine le 20 octobre 2015.
Alexeï Druzhinin/AFP
L’annonce du retrait (partiel) des troupes russes de Syrie a pris par surprise les observateurs. L’heure d’une première évaluation d’une action militaire aux objectifs multiples.