Peu coûteux, renouvelable, le chauffage au bois est de plus en plus plébiscité, et même subventionné. Mais sa généralisation n’est pas sans risque : émissions de particules fines et effets rebond.
Il est désormais bien établi que le temps ensoleillé influe positivement sur le bonheur…
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De nombreux économistes ont étudié le lien entre niveau du thermomètre et satisfaction. Sans surprise, leurs études concluent sur une préférence pour des hivers cléments et des étés pas trop chauds.
Une préférence déclarée pour le confort thermique se traduit par une hausse de la consommation d’énergie estimée entre 8 % et 10 %.
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Selon un projet de recherche, ceux qui déclarent préférer le confort thermique plutôt que de réaliser des économies d’énergie gagnent 7 965 euros de plus par an que la moyenne des ménages.
Bois broyé pour alimenter une chaufferie à bois.
Frédérick Florin / AFP
Introduite dans la loi en 2010, la précarité énergétique demeure mal comprise car difficile à évaluer, ce qui questionne la pertinence des politiques publiques qui la prennent en charge.
En 2014 à Grenoble, une des agglomérations françaises régulièrement touchées par des pics de pollution.
Jean-Pierre Clatot/AFP
Le gouvernement a fixé un objectif de rénovation thermique et environnementale de 500 000 logements par an. Mais l’intérêt de cette rénovation est soumis à de nombreux critères.
Les capteurs distribués en 2016 dans le cadre du projet Ambassad’air pour équiper les habitants de Rennes.
Damien Meyer/AFP
Nathalie Redon, IMT Nord Europe – Institut Mines-Télécom
En ville, l’utilisation de petits appareils permettant de mesurer la présence de particules fines dans l’air se généralise. Une arme de plus pour lutter contre la pollution de l’air.
Lille, Lyon, Grenoble, Paris… Les grandes villes françaises ont connu ces derniers mois de sévères pics de pollution. Comment est évaluée cette menace pour la santé et l’environnement ?