Jusqu’à présent, seule une cinquantaine de mirages gravitationnels de quasars étaient connus. L’intelligence artificielle vient de permettre d’en découvrir douze nouveaux.
La possibilité de voir une éclipse solaire dépend fortement de votre localisation et de la présence d'un ciel sans nuages (ou du moins de nuages dispersés).
(Shutterstock)
Une très rare éclipse du Soleil se produira à l’aube, jeudi matin, et pourrait être visible à partir de plusieurs endroits si le ciel est dégagé. Voici quatre façons de profiter du spectacle.
Champ autour du Quintette de Stephan.
Duc/Cuillandre/CFHT
Des données accessibles au public et une bonne collaboration entre scientifiques ont conduit à la découverte d’une planète dans un système à trois étoiles.
Malgré toutes ses étoiles, le ciel est noir la nuit.
Manny Becerra / Unsplash
Avec des étoiles partout dans le ciel, il devrait toujours y avoir de la lumière, quelle que soit la direction où l’on regarde, et le ciel devrait être brillant : c’est le paradoxe d’Olbers.
Le détecteur de neutrinos Borexino est installé dans le laboratoire souterrain du Gran Sasso, en Italie. Ici on en voit l’intérieur, équipé de 2200 photomultiplicateurs.
Collaboration Borexino
Que se passe-t-il au cœur du Soleil pour qu’il brille si fort ? Les scientifiques construisent des détecteurs géants et enterrés pour mieux comprendre notre étoile.
Capture d'écran du site Stellarium qui vous indique, selon votre localisation et l'heure, ce que vous pouvez voir dans le ciel.
Stellarium
La passion d’Hisako Koyama pour les étoiles commença pendant la Seconde Guerre mondiale. Ses mesures du Soleil sont un pilier des observations historiques de notre étoile.
Une étoile filante pendant la pluie de météores des Perséides. Bientôt, des milliers de satellites envahiront le ciel nocturne.
Shutterstock
Les satellites de SpaceX vont peupler le ciel nocturne, ce qui aura une incidence sur notre façon d’observer les étoiles. Et ce n’est que le début des mégaconstellations de satellites privés.
Pour comprendre, il faut revenir dans le passé et explorer les « bébés étoiles ».
Françoise COMBES, astrophysicienne lauréate de la médaille d'or 2020 du CNRS, ici à l’Observatoire de Paris - PSL (LERMA, CNRS / Ecole Normale Supérieure / Univ. de Cergy-Pontoise).
Frédérique PLAS / LERMA / CNRS Photothèque
Retour sur la carrière de Françoise Combes, où l’on évoquera la matière, l’antimatière mais aussi les énergie et matière noires. Bref, la plupart des mystères de l’univers.
Une simulation cosmologique, montrant la structure filamentaire de la matière noire dans la toile cosmique.
F. Leclercq (Imperial College), G. Lavaux (IAP)
Les structures visibles et invisibles de l’Univers forment la « toile cosmique », une gigantesque structure filamentaire. Les dernières avancées pour calculer et comprendre l’évolution de ce grand réseau.
Cette simulation figure les orbites d’étoiles situées à très grande proximité du trou noir supermassif qui occupe le centre de la Voie Lactée.
ESO/L. Calçada/spaceengine.org
Une observation récente montre une étoile « dansant » autour d’un trou noir – l’occasion de revenir sur les descriptions du Cosmos dans l’histoire et d’en apprendre plus sur le cœur de la Voie lactée.
Dans ses partitions, le compositeur fait allusion aux planètes et aux étoiles.
Pixabay
Kader Amsif, Centre national d’études spatiales (CNES)
Notre soleil a encore beaucoup de facettes cachées. La sonde « Parker Solar Probe » devrait nous en apprendre plus sur l’origine du vent solaire et sur le réchauffement de la couronne solaire.
Représentation artistique d'une exoplanète de la taille de Jupiter et de son hôte, une étoile légèrement plus massive que notre soleil.
ESO / NASA
Avec ce Nobel, ce sont des questions très fondamentales qui sont mises en lumière, et qui obsèdent l’humanité depuis probablement ses débuts : d’où venons-nous ? Quelle est l’origine de l’univers ?
Une image prise par le télescope Hubble de NGC 4639, une galaxie spirale barrée dans la constellation de la Vierge.
NASA / Neil A. Armstrong
Le tout premier grand projet mené par le Canada sur l'un des plus grands télescopes du monde permettra d'étudier comment la naissance et la mort des galaxies sont affectées par leur environnement.
« L’homme si sûr de son identité représente surtout une collection d’espèces cohabitant dans la plus parfaite des collaborations. »
Extrait de « Insignificant – Une espèce à part »
En dix courts épisodes, Franck Courchamp et Clément Morin invitent les êtres humains à se décentrer et à envisager sous un nouveau jour leur place et leur rôle dans leur environnement.
Exemple du SNR RX J1713.7-3946 vu en rayons X (à gauche) et en rayons gamma du TeV (à droite). Les images sont à la même échelle.
CEA-Clés
Fabio Acero, Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA) and Francois Brun, Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA)
Le télescope spatial Fermi-LAT a réalisé un sondage de l’ensemble du ciel en rayons gamma, pour détecter en particulier les sources à l’origine des rayons cosmiques.
Chercheur CNRS à l'Observatoire de Paris, au laboratoire LESIA qui est labellisé Domaine d'Intérêt Majeur ACAV+ par la Région Ile-de-France, Observatoire de Paris