Lancé le 22 juin, le satellite SVOM sera à l’affût des sursauts gamma, les explosions les plus violentes ayant lieu dans l’Univers.
Oliver Sattler/CNES
François Gonzalez, Centre national d’études spatiales (CNES) and Bertrand Cordier, Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA)
Lancé le 22 juin, le satellite SVOM sera à l’affût des sursauts gamma, les explosions les plus violentes ayant lieu dans l’Univers.
Un voyageur passe la tête sous le bord du firmament dans l’impression originale (1888) de la gravure sur bois de Flammarion.
Quand Henk Hoekstra a commencé son doctorat, les turbulences atmosphériques et les imperfections optiques empêchaient d’observer avec précision la matière noire. Aujourd’hui, Euclid change la donne.
Le violet d'une aurore est due à l'azote, le rose à l'oxygène.
Greg Johnson/Unsplash
Avez-vous eu la chance d’observer une aurore boréale ou australe ? Saviez-vous que l’on peut les voir également sur d’autres planètes ?
Les trous noirs supermassifs, présents au coeur des galaxies, ont une masse de plusieurs millions de fois celle du Soleil. Autour d'eux gravite de la matière qui chauffe et brille avant de finir par y tomber.
ATG/ESA
Lors des événements les plus violents observables dans l’Univers, un trou noir est souvent dans les parages. Deux missions spatiales vont traquer ces phénomènes pour percer les mystères de ces astres
Les trous noirs utilisent la gravité pour attirer la matière en leur sein.
NASA/Chandra X-ray Observatory/M.Weiss via AP
La plupart des trous noirs sont invisibles, mais lorsqu’ils absorbent de la matière, de la lumière peut être émise et l’on peut les observer indirectement.
Image de synthèse d'un trou noir réalisée sur la base des premières observations du « Event Horizon Telescope »
Omar Allam/Shutterstock
Comme dans tous les autres domaines, la qualité et la précision de l’expression orale et écrite, en sciences, impactent la transmission des idées et le raisonnement. En tenons-nous suffisamment compte ?
CRESST (Cryogenic Rare Event Search using Superconducting Thermometers) est une expérience de recherche de particules de matière noire au LNGS (laboratoire souterrain du Gran Sasso, Italie)
CREEST
La matière noire est encore mystérieuse ; pourtant, elle serait six fois plus présente que la matière « ordinaire ». Plusieurs laboratoires dans le monde cherchent à percer ce mystère.
La mission XRISM de l'agence spatiale japonaise doit observer les rayons X émis par des sources cosmiques - et pour la première fois, déceler les différentes « couleurs » de ces rayons.
Euclid nous apporte des images d'une grande netteté sur de larges portions du ciel. Ici, la nébuleuse dite de la tête de cheval.
ESA/Euclid/Euclid Consortium/NASA, données calculées par J.-C. Cuillandre (CEA Paris-Saclay), G. Anselmi
André Debus, Centre national d’études spatiales (CNES)
Le nouvel observatoire Euclid, lancé ce 1ᵉ juillet, va étudier la matière sombre et l’énergie noire, pour tenter de comprendre l’expansion de l’univers.
Une nuit étoilée défile sous nos yeux… Cependant le fond de ciel est bel et bien noir. Ou l'est-il vraiment ?
pxhere.com
Découvrez le paradoxe d’Olbers : si notre univers est infini alors il devrait y avoir une infinité d’étoiles, donc la nuit, le ciel devrait être brillant.
Pourquoi n'y a-t-il d'ouragan hexagonal que sur Saturne (à notre connaissance) ?
NASA/JPL-Caltech/SSI/Hampton University
Le pôle nord de Saturne est envoûtant, avec un ouragan hexagonal qui tourne doucement. Plongée en astrophysique des fluides.
La fin de vie spectaculaire de cette étoile atteint des proportions cosmiques: la nébuleuse fait environ 1,4 année-lumière de diamètre, soit 600 fois la distance qui nous sépare de la sonde Voyager 1 — l’objet le plus lointain de la Terre jamais envoyé par l’Homme. Ici, elle est imagée par les instruments du télescope spatial James-Webb.
NASA
Une dentelle de gaz et de poussière, observée par le télescope spatial James-Webb, révèle qu’un quatuor d’étoiles est l’ancêtre de cette « nébuleuse de l’Anneau austral ».
L'univers est en expansion, indéfiniment ?
Lidiia/Shutterstock
La découverte de l’expansion de l’univers a été rendue possible lorsque les astronomes furent capables de mesurer séparément la distance d’objets célestes lointains et leur vitesse.
De plus en plus de missions spatiales ciblent les astéroïdes. Parmi leurs buts : mieux comprendre la formation du système solaire et déterminer comment les repousser.
Chercheur CNRS à l'Observatoire de Paris, au laboratoire LESIA qui est labellisé Domaine d'Intérêt Majeur ACAV+ par la Région Ile-de-France, Observatoire de Paris