Le célèbre livre d’Umberto Eco livre un récit historique crédible et vraisemblable tout en jouant sur le registre très contemporain de l’enquête policière.
En fonction des époques et des moments, le prénom « Jean » est porté par 20 à 25 % de la population masculine au Moyen Âge, voire parfois jusqu'à 40 %. Soit 1 garçon sur 3 !
L’exposition qui se tient actuellement à la Tour Jean sans Peur couvre tous les aspects de l’amour au Moyen Âge, des plus spirituels aux plus charnels, des plus théoriques aux plus triviaux.
Le temps et les rythmes de travail connaissent des mutations profondes depuis la fin des années 90. Mise en perspective et état des lieux avec une petite marche dans les traboules de Lyon.
Comment des éléments issus de manuscrits médiévaux produits par une élite intellectuelle islandaise aux XIIᵉ et XIIIᵉ siècles ont-ils intégré une culture contemporaine populaire et mondialisée ?
Les riches seraient-ils la clef de la prospérité de la société ? Le frère mendiant Pierre de Jean Olivi (v. 1248-1296) fut l’un des premiers à affirmer l’utilité du marchand dans la société.
Maxime Fulconis, Sorbonne Université and Catherine Kikuchi, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay
Le discours actuel qui tend à opposer personnes méritantes et « fainéants » rejoue un très ancien débat médiéval, celui du « bon pauvre » et du « mauvais pauvre ».
Enseignes, slogans et marques faisaient déjà partie de l’arsenal publicitaire au Moyen Âge. Mais les emprunts « médiévalistes » de la publicité moderne font peu de cas de la véracité historique.
Au XIIIᵉ siècle, l’opposition des moines à un aménagement important près de leur abbaye recoupait un phénomène contemporain : le Nimby ou « not in my backyard » (« surtout pas chez moi »).