Le rôle du trafic aérien dans l’essor de la pandémie actuelle pourrait remettre en cause son statut particulier dans un contexte plus large de lutte contre le dérèglement climatique.
Manifestants en gilets jaunes dialoguant avec un CRS sur les Champs-Elysées, à Paris fin décembre 2018.
Zakaria Abdelkafi/AFP
Anthony Pregnolato, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
Pour comprendre les logiques sociales des modes de dénonciations des violences policières, il convient de les replacer dans une histoire longue de ces mobilisations.
A Nantes, le 15 décembre 2018.
Sebastien Salom-Gomis / AFP
Christian Mouhanna, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay
Le retour à une forme de gestion du débat public – ou plutôt du non débat public - par un recours systématique à la force publique risque de se heurter à plusieurs dangers potentiels.
Manifestation contre l'aéroport de Notre-Dame-des-Landes en août 2016.
Zone à Défendre/Facebook
Léa Sébastien, Centre national de la recherche scientifique (CNRS)
Sur différents lieux en lutte se côtoient ceux qui défendent une vision du monde et ceux qui veulent défendre un territoire, ceux qui s’opposent et ceux qui proposent des alternatives politiques.
Diogène, Jean-Léon Gérôme, XIXᵉ siècle,
Walters Art Museum
De la même manière que certains zadistes, les survivalistes brandissent par cette manière de vivre une certaine idée de la vérité. Ils s’apparentent ainsi à l’école Cynique de Diogène de Sinope.
Manifestation des étudiants dans les rues de Marseille, le 19 avril 2018.
Boris Horvat/AFP
Alain Faure, Centre national de la recherche scientifique (CNRS)
ZAD, Universités, SNCF : on peine à voir les convergences politiques ou idéologiques, tant les combats expriment des visions du monde différentes voire antinomiques.
Célébrations de la victoire à Notre-Dame-des-Landes après 50 ans de lutte, lors du rassemblement « Enracinons l'avenir » le 10 février 2018.
Jean-Sébastien Evrard/AFP
Penser l'après Notre-Dame-des-Landes implique de comprendre qui sont les défenseurs de cette ZAD, la pluralité de leurs profils et de leurs attentes, loin des sempiternels clichés sur les « zadistes ».
Chercheur au CNRS, directeur du Centre de recherches sociologiques sur le droit et les institutions pénales (CESDIP), Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay