Visite des tuyaux et des groupes de l'univers du gaz, entre monopoles et géopolitique ; un marché sous pression sur lequel les relations entre Gasprom et l'Europe sont tendues.
En 2017, si la définition de l’ordre mondial se joue en grande partie sur l’évolution géopolitique de la Syrie et du Moyen-Orient, l’Ukraine en sera aussi un révélateur crucial.
Depuis 2012, on assiste à l’avènement en Russie d’une mémoire post-moderne capable de considérer le tsar Nicolas II comme un saint et garder simultanément le mausolée de Lénine sur la Place rouge.
À l’heure où Donald Trump envisage la levée des sanctions qui frappent la Russie afin d’inaugurer de nouvelles relations avec Moscou, il convient de saisir la nature populiste du régime de Poutine.
Digne d’un thriller, cette affaire suscite des débats passionnés et de fortes interrogations aux États-Unis, mais aussi de l’inquiétude dans plusieurs pays européens.
L’Union européenne va renouveler les sanctions visant la Russie dans le dossier ukrainien. Quand la guerre et l’inertie diplomatique sont exclues, il reste cet outil, en forme de riposte graduée.
La débâcle est là. Les vieilles puissances se retrouvent au rang de spectateurs impuissants, badauds diplomatiques d’une des crises les plus aiguës de la scène internationale d’après-guerre.
Dans un récent discours au Parlement, Vladimir Poutine a mis l’accent sur les relations avec la Chine, le Japon et l’Inde. Les États-Unis n’ont pas le monopole de la notion de « pivot » asiatique.
Après des mois d’intenses combats, le gouvernement libyen affirme avoir défait les forces de l’État islamique à Syrte. Une victoire qui doit beaucoup au soutien actif des Américains.
Le discours de l’intérêt national est normal de la part des politiques, personne ne souhaitant être accusé d’agir à l’encontre des intérêts de la France. Mais quels sont-ils ?
Même s’ils ne sont pas jugés, faut-il renoncer à toute action politique ? Cela reviendrait à instiller un virus potentiellement dévastateur dans le corps des démocraties libérales.
Après des semaines d'intenses bombardements, le régime de Damas va remporter la victoire à Alep. Face à l’impuissance affichée par la « communauté internationale », il ne faut surtout pas se résigner.
Comment raconter aux nouvelles générations des Pays baltes les crimes soviétiques et nazis ? Quel est le juste équilibre pour dire les crimes des uns et des autres ? Chacun apporte sa réponse.
Analyste en géopolitique, membre associé au Laboratoire de Recherche IAE Paris - Sorbonne Business School, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, chaire « normes et risques », IAE Paris – Sorbonne Business School
Professeure des universités en études russes et soviétiques, Université de Rennes 2, chercheuse au CERCLE (Université de Lorraine), Université Rennes 2
Post-doctorant au Centre d'études sociologiques et politiques Raymond Aron (EHESS), Docteur en science politique associé au Centre de recherche Europes-Eurasie (CREE) de l'INALCO, Institut national des langues et civilisations orientales (Inalco)
Docteur en Études slaves contemporaines : spécialiste de la géopolitique de la Russie et du sport, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières