La démocratisation de cette fibre rare a notamment eu pour conséquences une dégradation de la qualité, une fragilisation économique des éleveurs et des impacts irréversibles sur les sols.
Des projets mobilisant l’intelligence artificielle ou la projection thermique cherchent à apporter des réponses aux défis économiques et environnementaux auxquels font aujourd’hui face les acteurs.
La collaboration des différents acteurs de l’écosystème permet de réorganiser les modèles économiques des petites entreprises dans une optique de spécialisation autour de leurs atouts.
Avec son « Soft Mirror », Claire Eliot démontre que le textile et le numérique peuvent s'allier pour redéfinir la relation entre homme et machine, vers la douceur et la fluidité.
Les bonnes intentions en matière de lutte anti-gaspillage se heurtent aux modèles de surproduction des fabricants mais aussi à l'idéalisation du recyclage chez les consommateurs.
L’entreprise Les Tissages de Charlieu s’est transformée à la vitesse de l’éclair en fabricant de masques. La « guerre » mobilise, certes, mais la notion d’agilité figurait déjà dans son ADN.
Ce cadre d'analyse permet de mesurer le niveau d'acceptabilité de l'activité par rapport aux ressources naturelles disponibles. Il pourrait constituer un outil précieux pour la filière textile.
Des associations ou des marques prennent le contre-pied des enseignes qui proposent des promotions le 29 novembre pour dénoncer une « journée infernale de surconsommation ».
Les Français sont aujourd’hui davantage prêts à la sobriété énergétique qu’à la réduction de leur consommation d’objets. Les auteurs du livre « Du gaspillage à la sobriété » expliquent pourquoi.
La mondialisation, la mode jetable et les économies d'échelle ont créé une tempête parfaite. La mode est bon marché, facile et abondante, mais elle exploite ses travailleurs et détruit l'environnement.
Pour survivre à la crise, les entreprises de la mode misent sur les nouvelles technologies. Nouveaux acteurs, nouvelle expérience client, big data : le secteur entier est en pleine mutation.
Toutes les dix minutes en Australie, 6 000 kilos de vêtements sont jetés. La faute à la mode éphémère des enseignes telles que H&M et Zara. Pour y remédier, une solution : investir dans la recherche.
Après avoir été un modèle d’offshoring, l’industrie de la mode s’oriente vers le omnishoring, plutôt que vers le reshoring, pour garantir sa capacité d’innovation.
La version américaine du magazine Marie Claire a sorti un numéro spécial dédié à la « mode durable ». Un vrai pas en avant, qui passe cependant à côté de l’essentiel.
Professeur senior d’analyse financière, d’audit et de risk management - Directrice de Programme pour le MSc Fashion Design & Luxury Management- Responsable de la spécialisation MBA "Brand & Luxury Management", Grenoble École de Management (GEM)
Professeur d'économie et de management, Directeur de la Recherche de l’IRIMA, Membre de la Chaire Mindfulness, Bien-Etre au travail et Paix Economique, Grenoble École de Management (GEM)