Comme le montre cette photo prise à Pyongyang, les habitudes vestimentaires des Nord-Coréennes sont en train de changer, reflet d’une évolution discrète mais profonde.
Lesley Parker
La pandémie a permis à la Corée du Sud de rééquilibrer sa relation avec les États-Unis et renforcé la dépendance politico-économique de la Corée du Nord vis-à-vis de la Chine.
Rencontre entre Kim Jong-un et Donald Trump sur la ligne de démarcation entre les deux Corées, 30 juin 2019.
Brendan Smialowski/AFP
Le discours de fin d’année de Kim Jong‑un a suscité l’émoi : s’achemine-t-on vers une nouvelle crise entre Pyongyang et Washington ? En réalité, les deux parties semblent condamnées à s’entendre.
A Hanoï, le 25 février 2019.
Manan Vatsyayana / AFP
Les deux dirigeants devraient se ménager, car ils sont soumis à des enjeux de politique intérieure et ont besoin de renforcer leur stature d’homme d’État en s’appuyant l’un sur l’autre.
Les provocations de la Corée du Nord exacerbent le conflit entre Pékin et Washington dans la course au pouvoir en Asie du sud-est.
Nicolas Asfouri/AFP
Pour le gouvernement Xi, un embargo brutal contre la Corée du Nord nuirait aux ambitions hégémoniques de la Chine et l’affaiblirait face aux États-Unis en quête de toute puissance dans la région.
Des habitants de Pyongyang saluent le nouveau teste nucléaire mené par le régime de Kim Jong-un.
Kim Won-Jin/AFP
Que faire face aux provocations répétées du régime nord-coréen ? Si les États-Unis de Donald Trump disposent de plusieurs options, aucune ne semble véritablement en mesure de stopper Kim Jong-un.
Un écran géant ans une rue de Tokyo, le 29 août au matin.
Kazuhiro Nogi/AFP
Rien ne sert de savoir si l’histoire se répète, ou de se focaliser sur les « leçons » du passé. Il faut mieux penser global pour comprendre les tensions actuelles avec la Corée du Nord.
Kim-Jong Un et Donald Trump, le mano a mano au bord du gouffre.
Saul Loeb, Ed Jones/AFP
Marianne Péron-Doise, Institut de Recherche Stratégique de l’Ecole Militaire (IRSEM)
Faute de propositions de négociation adaptée, la menace nord-coréenne perdure, la Chine avance ses pions et l’alliance de sécurité organisée autour des États-Unis en Asie du Nord-Est vacille.
Parade militaire à Pyongyang, le 15 avril 2017.
Ed Jones/AFP
Marianne Péron-Doise, Institut de Recherche Stratégique de l’Ecole Militaire (IRSEM)
Après la guerre des mots, le scénario de la confrontation est-il le seul probable où le retour au dialogue est-il envisageable ? Au-delà des rodomontades américaines, la Chine est au centre du jeu.
Le secrétaire d'État américain, Rex Tillerson, à Pékin, avec son homologue chinois, Wang Yi.
Lintao Zhang / POOL / AFP
Marianne Péron-Doise, Institut de Recherche Stratégique de l’Ecole Militaire (IRSEM)
Au stade d’isolement auquel est parvenu le régime de Pyongyang, ayant même lassé la Chine, l’arme nucléaire constitue sa seule garantie de survie et on voit mal comment il accepterait de s’en défaire.
Test en 2013 d’un missile par l’armée américaine dans le cadre de la conception du bouclier.
U.S. Missile Defense Agency/Flickr
Marianne Péron-Doise, Institut de Recherche Stratégique de l’Ecole Militaire (IRSEM)
Face aux provocations incessantes de Pyongyang, Washington et Séoul se sont mis d’accord pour le déploiement d’un bouclier dès 2017.
Dans une rue de Tokyo, le 7 février dernier, un passant devant l'annonce par la télévision nord-coréenne d'un tir de missile réussi.
Kazuhiro Nogi / AFP
Après un essai nucléaire et à un tir de fusée, Pyongyang dit avoir miniaturisé des têtes nucléaires. Une fuite en avant qui vise surtout à consolider le régime autour d'un « nationalisme nucléaire ».