Les guides sur le numérique dédiés aux adolescents mettent l’accent sur les dangers. Mais ne faut-il pas aussi s’interroger sur les ressorts psychologiques qui fondent cet attrait des écrans ?
Installer une appli sur le smartphone de son enfant pour suivre ses trajets, est-ce une parade contre les dangers de la rue ? Ou une intrusion dans sa vie privée qui peut nuire aux liens familiaux ?
Selon l’OMS, le rayonnement des portables est un agent « cancérogène possible » pour l’être humain. Pourtant, aucun résultat scientifique solide n’accrédite cette hypothèse. Comment l’expliquer ?
Ces ressources indispensables à la fabrication de smartphones ou d’ordinateurs sont devenues une arme géopolitique pour l’empire du Milieu, qui en assure 85 % de la production mondiale.
Mes recherches en Chine et au sein de la communauté ouïghoure m’ont permis d’observer comment l’usage de la technologie, au début libérateur, est peu à peu devenu une contrainte pour cette minorité.
Pour capter en signal en trois dimensions, il est nécessaire de numériser notre environnement et cela passe par des manipulations mathématiques et informatiques.
Les débats se focalisent actuellement sur les craintes sanitaires ou environnementales, délaissant la question des nombreuses innovations possibles en matière de business models.
Quoi de plus en prise avec notre corps que les tissus qui l’habillent au quotidien ? Quoi de moins en prise avec notre corps que ces écrans et ces claviers pour lesquels le corps n’existe pas ?
L’OMS a officiellement reconnu l’existence de la dépendance au jeu vidéo. Celle-ci n’est pas uniquement définie par une durée de jeu excessive : apprenez à la repérer chez vos enfants, et à remédier.
Didier Calcei, South Champagne Business School (Y Schools) – UGEI
Les éditeurs multiplient les initiatives pour devenir la plate-forme de référence – quitte à opter pour des stratégies qui froissent la communauté des joueurs.
Les différends sino-américains autour de la vulnérabilité (prouvée ou non) des technologies, ce qui justifierait l’interdiction de leur commercialisation, se multiplient.
À la veille des Journées européennes de l’obésité, zoom sur un facteur de risque du surpoids relativement méconnu et qui, pourtant, nous concerne tous : le temps passé devant les écrans.
La stratégie de la marque à la pomme emprunte certains éléments au monde du luxe mais ses produits ne sont ni rares ni ancrés dans une longue tradition.
Le marché ne s’est à ce jour pas envolé comme l’avaient prédit les analystes. En 2019, peut-on dire qu’il n’aura été qu’un mirage, ou qu’au contraire ses plus belles heures sont devant lui ?