Les satellites de SpaceX vont peupler le ciel nocturne, ce qui aura une incidence sur notre façon d’observer les étoiles. Et ce n’est que le début des mégaconstellations de satellites privés.
La conquête de l’espace se renouvelle, et nous sommes à la croisée de deux chemins : celui d’une responsabilité commune et partagée et celui d’un individualisme débridé et profiteur.
La régulation ou le marché, l’action publique internationale ou la logique du profit peuvent-ils permettre d’empêcher la saturation des orbites et de nettoyer les débris existants ?
Si les applications commerciales et de loisir des nanosatellites font polémique, ils servent aussi à faire de la recherche. Quelles en sont les applications possibles pour la science ?
Francis Rocard, Centre national d’études spatiales (CNES)
Allons-nous réussir à reprendre contact avec la sonde spatiale Voyager 2 après la rénovation de l’antenne qui sert à lui parler ? D’ici là, retour en images sur un voyage scientifique interplanétaire.
Roland Lehoucq, Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA) and François Graner, Université Paris Cité
La société SpaceX, propriétaire du milliardaire, envisage de mettre en orbite 42 000 satellites ! Il n’y en a eu que 8 000 depuis le tout premier Sputnik. Quelles seront les conséquences de ce projet ?
L’Organisation météorologique mondiale (OMM) a tiré la sonnette d’alarme en raison de l’impact de la pandémie sur les données d’observations qui alimentent les modèles de prévision météorologique.
Le déploiement de ces nanosatellites peu coûteux à produire permettra notamment de relier des millions d’objets connectés sur l’ensemble de la surface terrestre.
Sunanda Creagh, The Conversation; Molly Glassey, The Conversation; Wes Mountain, The Conversation; Martine Turenne, The Conversation, and Kathy Noël, The Conversation
Nous avons sélectionné quatre images satellites de la NASA avant et pendant les feux qui font rage en Australie. Grant Williamson, chercheur sur la gestion des risques d’incendie, les commente.