Derrière la fermentation, la torréfaction, le broyage qui transforment le cacao en tablettes de chocolat, bonbons et pâtisseries, c’est de la science qui se cache.
Si vous préférez le café décaféiné, voici une explication scientifique de sa fabrication, des raisons pour lesquelles il coûte plus cher et de la quantité de caféine qui se retrouve dans votre tasse.
Depuis sa classification en 2015 comme « probablement cancérogène » par le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC), le glyphosate a généré une conflictualité publique et un éclairage médiatique…
Longtemps négligées, les interactions entre microbiote et polluants sont désormais un objet d'étude qui vise à mieux comprendre comment le microbiote peut être une porte d'entrée des polluants dans l'organisme.
Sylvain Laurens, École des Hautes Études en Sciences Sociales (EHESS)
Le feuilleton-fleuve de l’autorisation de glyphosate rappelle la prévalence du lobbyisme à Bruxelles, sur fond de controverse autour de la molécule, prisée des industriels de l’agrochimie.
Méconnu en France, Hamad Butt sera prochainement mis à l’honneur à la Tate Britain. Le travail de l’artiste des années 1990 impose une réflexion inédite sur les dangers de notre ère technologique.
Jérôme Alsarraf, Université du Québec à Chicoutimi (UQAC); Andre Pichette, Université du Québec à Chicoutimi (UQAC), and Jean Legault, Université du Québec à Chicoutimi (UQAC)
Les plantes boréales produisent des molécules qui sont valorisées par les médecines traditionnelles et qui inspirent le développement de médicaments par les chimistes contemporains.
Nous créons de nombreux déchets textiles, qui sont peu recyclés, et encore moins surcyclés. Une piste pour donner plus de valeur à ces fibres mises au rebut.
En appliquant les lois de la physique classique et quantique, on peut comprendre comment les virus exploitent les cellules pour se reproduire et donc concevoir des nouveaux antiviraux.
Les PFAS, aussi appelés « polluants éternels », sont des contaminants que l’on retrouve partout et qui ont des effets nocifs sur la santé. Il est plus que temps d’interdire leur utilisation.
Les amanites tue-mouche poussent bien cet automne. Utilisée depuis la Grèce antique comme substance hallucinogène, elle surprend aujourd’hui par les liens qu’elle tisse avec les arbres.
Les moustiques vecteurs de pathogènes sont un problème de santé publique, une nouvelle approche basée sur la chimie permettrait de rendre les traitements plus efficaces.
L’administration de chimiothérapie en voie intraveineuse pose de nombreux problèmes pour les patients. Une étude chez la souris pourrait faciliter la vie des patients dans le futur.
Chercheur en biochimie, responsable du laboratoire « Stress oxydant et détoxication », Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA)