Depuis le début des années 2000, inégalités et violences de genre agitent le milieu journalistique. Malgré plusieurs mouvements et protestations pour tenter de changer la donne, le phénomène perdure.
Le prix Nobel de la paix récompense, à travers Dmitri Mouratov, l’ensemble des journalistes russes d’investigation, dont plusieurs sont morts assassinés.
Dans l’ouvrage « Le monde à la une, Une histoire de la presse par ses rubriques », les meilleurs spécialistes nous font parcourir près de deux siècles de presse française.
Accéder à la fonction de président·e de la République implique de savoir se mettre en scène. Mais jusqu’à quel point ? Réponse dans « Moi, président·e », le podcast qui vous donne les clés de l’Élysée.
Bertrand Labasse, ESJ Lille (École supérieure de journalisme de Lille)
Ne pas déplorer ni maudire mais comprendre : telle semble la juste attitude pour ceux qui s’inquiètent d’un débat public dont le niveau leur semble indigent.
Les résultats d’une étude montrent que les moyens financiers ainsi que la portée du média semblent jouer un rôle dans l’intégration ou non des technologies liées à l’IA.
Alexis Lévrier, Université de Reims Champagne-Ardenne (URCA)
Quatre après la déambulation majestueuse d’Emmanuel Macron, il semble possible de tirer quelques enseignements des difficultés rencontrées par ce jeune président dans ses relations avec la presse.
Sandy Montañola, Université de Rennes 1 - Université de Rennes
Accéder au monde du journalisme de sport est compliqué. Encore plus lorsque l’on est une femme. Confrontées aux discriminations et au sexisme, elles doivent lutter pour s’y faire une place.
En ce début avril 2021, l’horizon communicationnel est double pour le pouvoir : l’acceptabilité des mesures contraignantes qui persistent et la bataille de crédibilité politique qui éclot.
Il y a déséquilibre entre des multinationales comme Facebook et Google et des médias désargentés qui ne font pas le poids quand vient le temps de faire connaître la valeur des contenus journalistiques.
L’acte humoristique est un moment de libération d’une contrainte, de relativisation d’un savoir unique. Mais, s’il désacralise, ce n’est pas pour resacraliser par-derrière.
À force de dire partout « qu’on ne peut plus rien dire », certains humoristes nagent en pleine contradiction puisque c’est bien à eux « qu’on ne peut plus rien dire ».
L’analyse du viol comme sujet récurrent dans les médias nous renseigne autant sur l’évolution des représentations des violences sexuelles que sur l’histoire de leur politisation progressive.
Les agissements rapportés dans l’enquête de Valentin Gendrot décrivent une réalité et attestent d’une attitude « jusqu’au boutiste » de plus en plus symptomatique de certains policiers.
Secrétaire de la section « Sciences, histoire des sciences et techniques et archéologie industrielle » du Comité des travaux historiques et scientifiques (CTHS), École Nationale des Chartes