Je réalise actuellement une maîtrise en biologie à l'Université Laval, où je me penche sur la prédation du renard arctique sur les nids d'oies des neiges. À partir d'observations comportementales et d'expériences sur le terrain nous vérifions des hypothèses concernant les mécanismes influençant la force de l'interaction de prédation.
Le baccalauréat en biologie à l'Université du Québec à Montréal, m'a permis de participer durant deux étés à des études sur la faune cavicole en Abitibi. Les projets étaient surtout centrés sur le Grand pic et les utilisateurs secondaires des cavités qu'il creuse dans les arbres.