La façon dont sont traités les gens du voyage illustre la manière dont sont appréhendés les travailleurs pauvres lorsqu’ils sont aussi itinérants ou temporaires.
Avec le développement du télétravail, des « nomades numériques » commencent à se sédentariser, et de préférence dans des villes touristiques des pays du Sud où le coût de la vie est moindre.
Découvrir l’expérience de ces nomades automobiles peut être intéressant non seulement pour ceux qui souhaitent mettre fin aux loyers et hypothèques, mais aussi pour les urbanistes et les employeurs.